[Europe::Paris] Paris - Une ville fantôme

Paris la nuit ... Quel havre de paix. Du moins c'est l'impression que l'on pouvait avoir les yeux fermés.

" AAAAaaaaah, bonne journée j'ai bien dormi, la nuit me voilà "

Je ramassai mes armes, m'étirai, tendais mes bras vers l'avant. J'étais près a defaire Paris de quelques ennemis de l'humanité.

Je sautais sur les toits cherchant une âme en détresse ou un simple zombie érant. Le plus malheureux, je me rappele de cette nuit. Les combats avec Hayate, j'ai toujours une dette envers lui, il m'a sauvé la mise. Et le plus malheureux c'est que l'armée n'est jamais venue liberer Paris de l'emprise des zombies. Soit disant parce que des psycopathes ont été trouvés.

Je ne comprenais plus grand choses à la société officielle, on est attaqué, puis on devient le motif au gouvernement pour laisser moisir des citoyens honnetes.

Allez, encore quelques jours ici et j'irai retrouver Hayate. Ce message qui passe en boucle sur ma radio m'agace, il fait fin du monde.

Je met mes écouteurs, metallica - one. On peut dire qu'un cataclysme à des avantages, on ne s'ennui jamais, et tout est gratuit.

" Arf "

3 Zombies en contre-bas m'avaient repérés, il coururent dans la maison sur laquelle je me trouvais, on ne se pose pas la question du pourquoi. Peut-Après, les voilà sur le toit en ma compagnie, il me fixaient, prêts à bondir. Les trois fonçèrent sur moi deux d'entre eux se jetterent sur mes jambes, je les décapitais très vite, d'un seul balayement de claymore.

Je relevais les yeux, le dernier zombie n'était plus là, il était dans mon dos et s'agrippa à moi.

" AAAAAAAA ! "

Une douleur forte dans le cou, le zombie m'avait mordu. J'attrapais sa tête et le fit basculer devant moi, je sorti mon canon scié et lui explosa la tête sur le sol.

Une main sur mon épaule, je courais vers une pharmacie, me pensai et tentais d'arreter le saignement.

Quelques heures passaient, j'étais toujours conscient.

" Pourquoi ... je devrais être mort, j'avais toujours mal, je regardais la plaie, comme à mon habitude, le saignement s'était vite arrété, la plaie était fermée. "

Il y a trop de mystère sur ma vie. Qu'est ce qu'ils ont bien pu me faire avant de me réveiller ...

" Merde, je ne me transforme pas du tout que se passe t-il? Mon corps ne se dégrade pas, ma conscience est toujours complète. Merde merde merde et re-merde

C'est cette capacité de régéneration qui à détruit le virus? Alors, je suis immunisé? Peut-être avais-je déjà le virus en moi qui sait? Je le possède mais ne le transmet pas? "

Trop de questions couraient dans ma tête, j'étais tombé assis par terre dans la rue. En plein danger, je ne bougeais plus. Qu'allait-il m'arriver? Etait-ce pour celà que l'armée me poursuivait depuis ma desertion?

Nannie regardait d’un œil morne la rue devant elle, ses bâtiments gris, ses habitants qui se pressaient de rentrer chez eux avec la peur au ventre, rien de vraiment intéressant comme spectacle. Non décidément elle ne savait pas ce qui avait bien pu lui passer par la tête ! Rentrer à Paris ? Ridicule ! Pour voir quoi ? Ca ?

" Pff ! "

Elle lâcha un soupir sonore et d’un coup de pied envoya rouler plus loin une canette vide de soda qui avait eu la mauvaise idée de croiser son chemin. La jeune femme se remit à marcher, il valait mieux encore se promener et avancer que rester là à tourner en rond.

Elle marcha vite, avalant les avenues de son pas léger, sans but, juste guidée par sa mauvaise humeur. D’abord ce nouvel aspect urbain ne lui plaisait pas du tout – le désordre ayant manifestement laissé place à l’insécurité – et d’autre part elle n’avait pas tenu compte du décalage horaire, à son arrivée la nuit tombait et bien sûr elle n’avait pas d’endroit où dormir. Et ça non plus ça ne lui plaisait pas beaucoup.

Elle savait se défendre certes, mais elle ne connaissait plus les lieux et elle redoutait certaines rencontres. Armée, rebelles ou zombies à choisir les morts l’inquiétaient le plus. Elle courait vite mais c’était presque son seul atout face à ces êtres dangereux. Heureusement ils étaient généralement lents et pas malins. Mais bon, valait mieux quand même se…

" Et merde ! C’est quoi ça ? "

S’arrêtant brusquement à plusieurs mètres de la forme par terre, elle se raidit et repéra les lieux de quelques rapides coups d'oeil.

* Punaise je sais même pas où je suis ! *

Heureusement l’homme au sol était seul et la rue vide. Rien derrière, elle pourrait fuir à tout moment. Doucement elle s’approcha, jusqu’à distinguer sa tête. Il était assis de côté vis-à-vis d’elle, du coup elle ne voyait qu’une partie de son visage. La curiosité l’emporta et elle resta non loin de lui à l’observer une minute.

L’homme était jeune, de quelques années son aîné sans doute, il portait une arme encombrante semblable à une grande épée mais courbe. Il restait immobile et semblait perturbé.

*Mmh…On dirait pas un zombie quand même, ni un policier d’ailleurs… ça laisse peu d’options ça. Surtout que les hommes politiques se baladent rarement avec un truc aussi gros*

Jugeant qu’il avait moins l’air dangereux que nécessiteux, elle fit encore un pas et lui adressa quelques mots d’une voix neutre :

" Monsieur ! Vous vous sentez bien ? "

Quand même pas idiote, elle ne lâcha pas la poignée du couteau dans sa poche.

Une jeune femme m'interpella. Je levais les yeux vers elle. Que pouvait-elle faire ici ? en plein nuit ?

" C'est dangereux par ici, tu devrais te méfier. "

Elle ne lâchait pas son arme moyennement dissimulée dans sa poche.

" Je ne vais pas te faire de mal, tu peux lâcher ça. Du moins, je ne pense pas te faire de mal ... "

Cette morsure me dérangeait réellement, bien que je ne m'étais pas transformé, le doute qui planait me mettait très mal à l'aise. J'en aurais presque souhaité mourir tant la peur me hantait.

" Je ne vais rien te cacher, j'ai été mordu par un zombie, bizarrement, je ne me suis pas transformé, cela fait quelques heures désormais. Tu peux rester ici, me suivre, ou t'en aller, c'est comme tu le sens. Seulement, méfie toi de moi, je ne suis pas sur de pouvoir en réchapper. "

Je me relevai, saisis mon arme, que je replaçai dans mon dos, puis je commençais à marcher en direction des ruines des champs élysées.

En route pour Paris, Fered et Hayate rentrèrent
dans la capital qui semblait déserte, la jeep avait mangé la plupart
des kilomètres qui les distançaient de la zone qu'ils devaient couvrir.

Les rues étaient complètement désertes, en regardant de plus près, un
tas de cadavres gisait dans une ruelle sur la droite de la rue. Les
cadavres avaient, semble-t'il , été transporté dans un coin assez
reculé pour eviter de les avoir à vue ou bien n'était-ce que les
créatures qui voulaient être tranquille pour pouvoir les dévorer.

En regardant mieux, le tas remuait sur sa droite. il y avait une
créature, mais quoi Fered n'arrivait pas à le déterminer. Un zombie ?
Un insecte ? Un cannibale? Toutes solutions devait être prise en compte
afin de mettre à jour la carte du QG.

"Regarde dans la ruelle a droite, à coter du tas de cadavre, une ombre
bouge en faisant, ma foie, un sacré festin. Gare la jeep, il faut que
j'aille voir si la zone est infesté, j'arrive"

La jeep avançait encore doucement mais Fered bondit en matérialisant
une épée avec une poignée de carbone pur contenu dans son sac a dos. Il
s'avança vers la forme et vit avec dégout que c'était un enfant
zombifié. Et comme Fered le pensait, il faisait la un véritable festin.

D'un coup d'épée, il fut déchiré en 2 . Trop occupé à manger il n'avait
même pas vu le coup venir. Sa en était trop facile, même décevant
venant de créature si crainte.

Fered remonta dans la jeep, et les 2 compères repartirent jusqu'à voir 2 formes en plein milieu d'une grande avenue. Inconsciemment, il leva les yeux pour regarder le nom de la rue:

Avenue des champs-élysées

La réponse de l’homme figea Nannie sur place : elle qui pensait l’aider voilà qu’il lui donnait des conseils !

* C’est un peu fort ça ! Non mais il se prend pour qui lui !? On m'y reprendra à vouloir aider les gens ! *

Elle s’écarta et l’écouta avec méfiance raconter ce qui lui était arrivé. Une attaque de zombies avec morsure…

Partagée entre l’incrédulité et la peur, elle pinça les lèvres en l’observant : il paraissait sincère et anxieux.
Nerveusement elle attacha ses longs cheveux noirs en arrière et rompit enfin le silence quand il se remit debout :

" Mmmh… C’est bizarre votre truc. "

L’homme s’était mis en marche, direction les Champs Elysées. Elle reconnaissait les lieux maintenant. Elle resta à son niveau, mais pas trop près, et reprit la discussion sur un ton neutre :

" Apparemment on se tutoie ? Bon.
Y’a surtout un truc qui me dérange dans ton discours, c’est que d’après toi : tout d’abord je ne crains rien, et finalement, si, je devrais me méfier !? "

Nannie ne voulait pas lui faire penser qu’elle avait peur car ce n’était pas le cas – encore qu’elle se fichait de ce qu’il pouvait bien penser en fait – mais sa curiosité avait pris le dessus et c’est pourquoi elle cherchait à comprendre.

" Au fait, tu n’as pas trop mal ? Et tu t’appelles comment ? "

Le silence de la nuit fut rompu par le ronronnement d’un moteur. La jeune femme se retourna à moitié et distingua une bagnole qui se rapprochait d’eux à vitesse moyenne. Tendue, elle fixa le véhicule et aperçut deux hommes à l’intérieur. Même si c’était une jeep, les inconnus ne portaient pas de vêtements militaires, par conséquent il ne s’agissait pas de l’armée mais très certainement de rebelles…

Par précaution elle quitta le caniveau pour le trottoir, prête à s’abriter si il le fallait.

" Tout d'abord, je tutoie tout le monde sur cette planète, j'estime que le monde à autre chose à penser qu'a ces choses futiles. Ensuite, la douleur s'est calmée presque instantanément après la morsure, c'est une longue histoire. Quant à mon nom, 'est Ryusaki"

Elle n'avait jamais combattu un zombie on dirait. Personne ne peut se promener sans craindre une morsure, personne...

" Tu viens d'arriver à Paris ? "

La jeep se rapprochait. le bruit du moteur raisonnait dans cette rue jadis surpeuplée.

" ca me gave ce bruit, les gens sont cons de faire du bruit dans les rues, à croire qu'ils veulent mourir. Suis moi si tu veux éviter les zombies. "

Sans réfléchir je lui attrapais le bras et commençai à courir vers la première maison sur la droite, afin de nous cacher sur les toits, en attendant le retour du silence...

[HRP : Désolée Fered, j'ai attendu une semaine mais Hayate n'a pas posté...]

" Drole de nom… pour un français. "

Ryusaki comprit de suite qu’elle venait de débarquer et elle se demanda si elle avait l’air si cruche que ça ; elle jugea qu’il était inutile de lui mentir.

" Ouais j’ai aterri y’a une heure à Paris. Enfin disons plutôt que je suis revenue… je suis d’ici à la base mais j’ai passé les six dernières années… très, très loin. "

L’homme qui venait de se présenter semblait au moins aussi méfiant qu’elle, jugeant rudement les nouveaux venus en jeep et leur bruit tapageur. Aparemment il ne comptait pas non plus les attendre tranquillement, ce qui la rassura, et il l’entraina avec lui dans une maison qu’ils gravirent à toute vitesse. Arrivés sur les toits elle vérifia qu’aucun zombie ou autre ennemi ne les y attendait. Elle s’accroupit et resta dans cette posture de guet qui lui était coutumière, et surtout moins visible depuis la route. Elle relança la discussion espérant entendre un bout de la longue histoire qu’il lui avait fait entrevoir. Avec bonne humeur elle se présenta :

" Au fait je m’appelle Nannie. C’est moins classe comme nom mais bon c’est celui qu’on m’a donné. "

Elle continua tranquillement, bavardant comme s’il n’y avait pas plus naturel qu’un toit dans la nuit pour faire connaissance.

" Comme je te l’ai dis tout-à-l’heure ça fait un bout que j’étais à l’étranger et du coup je ne suis pas trop au courant des dernières… nouveautés.
Ca se présente comment ici ? En dehors du fait que ça pullule de zombies ! Remarque c’est logique, c’est en Europe qu’on trouve le plus de survivants à présent, alors forcément ils sont attirés et viennent ici. "

Elle ajouta pour elle-même :

* Et c’est pas pour rien que moi je n’y étais pas ! *

" Tu n'aurais pas dû revenir. Le monde est au courant de ce qu'il se passe ici, et on entend les cris à des kilomètres de là, et puis les bâtiments en ruines ne passent pas inaperçu. On est là pour un petit bout de temps, on entre facilement à Paris, mais en sortir vivant est une autre histoire. Tu veux réelement savoir qui je suis ? Je suis Ryusaki, réveillé en laboratoire de l'armée dans le colorado aux US. Je ne suis pas sûr, mais je pense être un cobaye du projet pare-mort raté, raté selon moi car sinon j'aurais été mis au courant de ma situation. Mais après cette nuti je me demande si je suis réelement une expérience raté ...

Autres infos, J'ai quitté l'armée ne sachant à ce moment là que Oslo été déjà mort. J'ai été trahis par une femme, la seule personne que je pensait digne de ma confiance. Aujourd'hui je tente de protéger les survivants de Paris. Je fais partis d'un groupe plus nombreux que ce que tu pense, mais ce groupe est abrité quelque part, je n'y vais que très rarement, pour chercher quelques vivres. Je ne te l'indiquerai pas tant que je n'aurais pas confiance. "

Waow, qu'est ce qu'on peut dire en une minute comme choses. Les bruis de la jeep se rapprochaient encore et toujours. Je ne distinguais pas leur uniformes et encore moins leur visage, mais je pouvais determiner leur nombre, deux. Ce qui est sur c'est qu'il ne savent pas ce qu'est devenus Paris depuis ces dernières semaines. Les zombies se multiplient encore et toujours, la fin de la capitale est pour très bientôt.

" Prepare toi Nannie, le combat est pour bientôt "

[HRP] Pas grave Nannie, je vais moi même continuer sans Hayate qui est très pris [HRP]

Les deux silhouette avaient disparues soudainement dans l'intérieur d'un bâtiment a peine le bruit de la voiture devait être parvenu a leurs oreilles. Il supposait avoir à faire à des insectes, ils avaient surement étaient effrayés par les phares. Fered regarda attentivement Hayate, ce regard voulait en dire long. Il pris ensuite la parole.

"Le travail sera effectué plus rapidement si nous nous séparons, je vais m'occuper des horizons, si je ne suis pas revenu au QG d'ici 5 jours, je pense que tu ne me reverras plus jamais."

Il sauta de la voiture en marche et courut dans la maison en matérialisant une épée. Casiment sur que les insectes s'attendaient a une visite, il bondit violemment par une fenêtre afin de creer un effet de surprise.
Même si celui ci était inutile car personne ne lui tendais de piège.
Il fouilla placard, buanderies, cave, croyant trouver ses ennemies.

alors qu'il s'apprétait a monter les escaliers pour aller fouiller l'étage, des bruits venant des portes et fenêtres se firent entendre. Des zombies, ils rentraient de partout, la voiture avait dut les attirer, il était pris au piège, les premiers zombies l'encerclaient. Il commença a les découper, les uns après les autres, mais ils étaient trop nombreux, il devait batttre retraite.
Il grimpa l'escalier, grimpant les marche 4 à 4. Il s'enferma dans une chambre. Le bruit des zombies était insoutenable. Il s'asseya sur le lit et chercha a trouver un moyen de s'en sortir ... vivant.

" Eh bien je n’étais pas dans la partie du monde qui était au courant alors… Je crois bien que tu as raison, j’ai fais une sacré bêtise en revenant ici ! "

Comme Ryusaki venait de le dire il était très difficile de sortir de Paris et pendant un moment Nannie fut convaincue qu’elle aussi n’en sortirai que les pieds devant. Non, il ne fallait pas se décourager devant les ruines de la capitale, il fallait oublier l’ancien paris, tout oublier. Une seule chose importait : survivre.

" Ton histoire est incroyable ! Et avant ton réveil tu étais qui ? Tu t’es fais enlevé pour être heu… transformé peut-être ? Enfin l’essentiel c’est que ça t’ai protégé cette nuit. "

Elle écouta avec attention son récit mais certaines parties n’avaient pas vraiment de sens pour elle qui ignorait tout de la situation en Europe ces six dernières années.
Nannie lui demanda qui était Oslo.
Elle aprouva intérieurement son choix d’aider les rescapés après avoir quitté l’armée. Etait-il de ce fait un rebelle ? Est-ce qu’un but aussi louable pouvait le mettre dans le même panier que les dangereux psychopathes que pourchassait l’armée ?

" Ne t’inquiète pas je ne veux pas connaitre ce lieu, je ne cherche pas à vous infiltrer toi et ton groupe. Je n’ai aucune motivation politique, ni de griefs contre personne d’humain. "
Ce discours lui semblait assez neutre, mieux valait pas se faire valoir d’un côté ou de l’autre quand on ne connait pas les systèmes en place !

" Prepare toi Nannie, le combat est pour bientôt "

A peine l’avait-il mis en garde qu’une fenêtre se brisa au rez-de-chaussée. Nannie se pencha au-dessus de la gouttière et aperçut la jeep qui continuait son chemin, impossible de dire si les deux occupants y étaient encore et qui avait bien pu entrer par cette fenêtre alors que la porte était ouverte. Prête à se battre comme l’avait dit Ryusaki, elle écouta avec attention les bruissements en dessous d’elle, mais quoi que fasse le nouveau venu ce n’était pas assez bruyant pour parvenir jusqu’au toit.
Malheureusement le silence ne dura pas et un instant plus tard la maison était totalement assaillie. Comment autant de zombies pouvait se réunir si vite au même endroit restait un mystère. Elle supposait qu’ils avaient un moyen bien à eux de communiquer. En tout cas s’ensuivit des bruits de lutte acharnée, ils entendirent très bien puisqu’ils se trouvaient juste au-dessus que l’inconnu avait monté à toute vitesse l’escalier et une porte avait claquée violemment.

Une autre personne aussi défendait sa peau ce soir… Insecte ou humain ? Si c’était un homme elle priait de toutes ses forces qu’il arrive à se protéger.
Mais le temps de se poser des questions était fini car déjà les zombies avaient trouvé l’échelle qui conduisait au toit et allaient arrivaient à leur niveau.

" Attention à toi. "

Sans même y penser Nannie avait déjà dégoupillé deux mini-grenades et les lançait par l’ouverture. C’était des armes anti-zombies et le pouvoir explosif était calculé pour réduire un ennemi en bouillie et non pour faire effondrer un bâtiment. La déflégration retentit et quinze secondes passèrent avant que le prochain zombie ne montre son horrible tête.

" Lache ca, c'est trop dangereux des grenades. "

Je fonçai alors dans le tas. Ma Claymore à la main, traversant les carcasses moitié vivantes, moitié mortes. Je finis par arriver dans une pièces qui semblaient barricadée. deux coups de fusil à canon scié, la porte vola en éclat. Un homme était là, assis sur le lit.

" Allez Giselle, suis moi, sinon t'es mort, tu dois être nouveau, quand on est ici depuis plus d'une journée, on comprend qu'il ne faut pas stationner, encore moins quand les zombies tentent de défoncer la seule porte qui vous protège. "

J'ouvrais la fenêtre, attacha une corde à une grosse commode. Et la lança à l'exterieur.

" Saute, je te couvre ! "

les zombies étaient là par dizaines. Ces êtres ce regroupent êxtremement vite, la situation commençait réellement a empirer et bientôt notre contrôle de la situation serait totalement perdu.

Tout à coup, trois zombies m'encerclaient, ils sautèrent tous en même temps. Je tentai un coup circulaire afin de tous les découper d'un coup.

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Ferhed exécuta aussitôt les ordres de l'inconnu, un être vivant devait être bon à écouter dans ce genre de situation.

Arrivé en bas, il se tourna vers la fenêtre d'où il venait de descendre, il y aperçu l'homme qui avait était encerclé par 3 zombies, celui ci avait tenté de les avoirs les 3 en même temps mais le 1er zombies avait arrêté la claymore en le maintenant dans son corps.

L'un des 2 autres zombies le mordit à l'épaule.

"Saute à ton tour"

Ferhed matérialisa son arc, et visa le zombie qui maintenais la claymore et tira.

Avant même que la flèche ne percuta sa cible 2 autres flèches partirent en direction des 2 autres zombies, il était primordial pour lui de sauver ce valeureux guerrier.

Et pour cela, le crane des abominations devait à tout prix être transpercé.

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[HRP : Désolée pour tout ce retard, semaine passée trop chargée !]
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Le combat fesait fureur et du coup Ryusaki n'avait pu répondre à ses questions, elle les lui reposerait plus tard.... s'ils étaient toujours en vie !

Bien qu'il lui déconseillait de s'en servir, Nannie continua à utiliser quelques unes de ses mini-grenades tenant à distance les corps sans vie.

Mais quelques zombies l'avaient tout de même rejoints, elle faucha le premier qui s'effondra sur le deuxième, les deux corps tombèrent en arrière et glissèrent de la pente du toit ; de sa main libre elle avait attrapé l'une de ses flèchettes en mode explosif. D'un geste sûr l'envoya se ficher dans la poitrine de l'un ; ils se consumèrent dans le vide et un tas de poussière se déposa à terre.

Elle recula le plus possible vers le bord du toit, surtout ne pas se laisser approcher ; elle le savait c'était son point faible le corps à corps, en général elle évitait les raprochements de ce genre. Hors de question qu'elle traine encore ici, et il lui faudrait acquérir une bonne arme à feu si jamais une telle situation se représentait à paris.
Habile au lancer, elle n'avait pas la force de manier une lourde lame comme le fesait Ryusaki ; si l'ennemi n'était pas déjà mort elle se servirait de ses autres armes mais présentement il fallait quelque chose qui fasse assez de dégât pour stopper un mort-vivant.

Ryusaki s'était jeté en plein combat et dégageait son chemin à grands coups de claymore ; la technique était brutale mais efficace. Elle entendit soudain les coups de feu quelquepart en dessous d'elle, nannie s'agrippa des deux mains à la gouttière sous elle, se jeta dans le vide et resta quelques instants suspendue.

Par la fenêtre de la façade elle aperçut un homme qui en sortait à l'aide d'une corde, il s'arreta en bas et enjoignit quelqu'un d'autre de sauter.
De sa position elle n'apercevait pas l'intérieur de la pièce mais devinait que Ryuasaki se trouvait à l'intérieur.
Soudain l'inconnu sortit un arc de nulpart et visa.

"Non !!!"

Se méprenant sur la cible visée, elle lacha la gouttière et aterrit quelques mètres plus bas semie-accroupie. Mais les flèches étaient parties.
Là-haut les zombies, hurlait leur mécontentement d'avoir raté leurs proies ; un cri terriblement inhumain résonna dans la rue.

La jeune femme le vit enfin : Ryusaki était aux prises avec trois zombies. Et contrairement à ce qu'elle vait cru aucune flèche ne l'avaient atteint, malgré tout sa situation était critique...
Et pour cause seule une des trois flèches avait transpercé la tête d'un zombie, les deux autres s'étaient fichés dans leur corps et ne devaient guère les perturber !

Ah si seulement elle avait aussi un canon scié !

Un cri s'échappa de ma gorge. Puis le zombie se vut la tête transpercée par une flèche. Je sortit mon canon, éclata la tête des deux autres puis sautais par la fenêtre.

Et merde... Encore une morsure, je ne peux pas rester, je ne sais pas encore si je suis immunisé ou si j'ai eu une chance phénomènale.

Je regardais l'homme à qui j'avais porté secours.

" Désolé, je ne peux pas rester pour l'instant, je vous suivrais mais vous ne me verrez pas ... "

Puis je courus sur les toits comme à mon habitude, et m'éloignais à très grande vitesse tout en gardant un oeil sur mes deux compères.

Quel con, je suis pas encore un surhomme. Avec mes conneries je risquais encore une fois ma vie...

David Gold. La terreur des malfrats.

Vous volez une orange ? Vous la payez. Vous volez une arme ? Vous la rendez. Vous violez une femme ? On vous met dans une prison turque. Vous tuez quelqu'un ? Dites adieu à la vie. Vous l'avez torturé avant de lui donner le coup de grâce ? Préparez-vous à une lente et douloureuse agonie.

L'hélicoptère de Gold qui avait parcouru pendant deux semaines les étendues du Sahara après son départ des États-Unis se posa sur la Tour française de Relai Militaire, à Paris.

Dryss Mario n'était pas là. Il devait s'occuper de la protection de Devi Tabjile qui devait rencontrer les scientifiques du centre Ashigaru au Japon. – Des histoires d'intellectuels se disait Gold.

– M. Gold, bonjour.

C'était le responsable de la police français, Thomas Moulin qui venait de l'accueillir à la sortie de l'hélico, sur la piste, autour d'une armada de flics. Il avait appelé quelques heures auparavant et demandé la présence de Gold dans la capitale française pour une affaire dite épineuse. Quelle était-elle d'ailleurs ?

– Mornin'... So what's da problem ?
Bonjour... Alors quel est le problème ?
– C'est... un très gros problème.
– This isn't an answer, Moulin.
Ce n'est pas une réponse, Moulin.
– Radion #7.

Ce nom venait d'engendrer un silence absolu sur le toit du bâtiment. Plus personne ne bougea ni ne cilla. Même l'hélico ne faisait plus ce bruit imposant engendré par les pales qui fendaient l'air. Ce silence dura dix secondes.

– Radion #7...
– Il est apparu...

Le ciel qui avait été bleu quelques minutes auparavant se couvra de gros nuages gris.

– God...
Bon Dieu...
– Il faut que M. Tabjile vienne ici.
– Useless. He just created it but he donno how to control it.
Inutile. Il l'a juste créé, il ne sait pas comment le contrôler.
– Mais il saura quoi faire pour les Zombies.
– Zombies ?
– Ils pullulent en ville depuis l'apparition de Radion #7.
– Fuck it. We just need a lil' intervention of the army. Da real problem is Radion #7.
Rien à foutre. Nous avons juste besoin d'une petite intervention de l'armée. Le vrai problème est Radion #7.
– Nous savons qu'il est indestructible. Mais il n'a attaqué personne.
– How many?
Combien ?
– How many quoi ?
– How many creatures?
Combien de créatures ?
– Nous ne savons pas trop... Quelques milliers.
– Okay... Find me a car. Gather as many cop as you can. I go get it.
D'accord. Trouvez-moi une voiture. Rassemblez autant de flics que vous pouvez. Je m'en charge.
– Bien monsieur.

Peu après, là où l'on se battait contre les Zombies, la police intervînt et aida les combattants. Ce n'était pas bien compliqué de les détruire. Il suffisait simplement de solidariser la tête du corps ou de détruire le cerveau.

L'annihilation allait prendre quelques heures, peut-être trois, d'après les estimations de Gold. De plus, il s'arrêta à un endroit où plusieurs combattants ne se débrouillaient pas trop mal.

– Actually... Maybe two hours.
En fait... Peut-être deux heures.

Gold dégaina ses colts et ouvrit la portière. Du haut de son mètre quatre-vingt onze, il interpela guerriers.

– Hi everybody! Wanna some help?
Salut tout le monde ! Vous avez besoin d'aide ?

En un éclair, Ryusaki s’était sorti de là et avait fui sur de nouveaux toits après une brève phrase de semi-adieu. Nannie resta un instant étourdie par son attitude, repassant les images dans son esprit, elle nota un indice : son épaule était en sang… or sa première blessure du début de la nuit était cicatrisée, donc… Il voulait les protéger en s’éloignant des fois que son immunité ne soit pas sûre !

* Humm ça part d’un bon fond, mais maintenant j’ai plus qu’à recommencer les présentations avec l’autre ! *

Ce qu’elle fit aussitôt, de façon quelque peu agressive, déchargeant sur lui le stress de ce qu’ils venaient d’endurer :

« Hé toi ! T’as eu de la veine qu’on était là pour t’aider !
D’abord tu es qui ? Et pourquoi tu nous as suivis à l’intérieur !? »

Comme certains zombies commençaient à ressortir de la maison, elle balança deux de ses petites grenades par la porte d’entrée et la fenêtre cassée.

Elle attrapa l’inconnu dans l’idée de l’emmener avec elle, pour se mettre à l’abri : c’est-à dire courir vite et loin. Malheureusement ils ne purent ni poursuivre leur entretien privé, ni s’éloigner car d’un coup le taux de fréquentation de la rue explosa : l’armée venait d’arriver en grandes pompes. Et avec beaucoup de bruit d’ailleurs.

*Voilà qui ne lui plairait pas beaucoup…*

Nannie regarda attentivement les toits mais ne vit pas son allié, comme il l’avait si bien dit : il était invisible.

Les hommes et les voitures bloquaient la rue des deux côtés, l’empêchant de mettre son plan à exécution, et ils finirent de ‘nettoyer’ le coin de ses dangereux parasites inhumains.

*Allons bon qu’est-ce que ça va encore donner cette histoire !?*

Ils étaient coincés par l’armée, qui était si vite intervenue qu’ils n’avaient eu le temps de se cacher. Enfin, elle, n’avait rien à se reprocher et ne craignait pas ces soldats, mais dans le cas de l’autre homme elle n’en savait rien.
Bon faut avouer que depuis huit ans, la police n’était peut-être plus ce qu’elle était aussi…Elle resta donc méfiante en attendant la suite des évènements.

Un homme étrange arriva soudain, il sortit de la voiture avec ses deux colts, son mètre quatre-vingt dix et une tête de mec important.
Evidemment elle n’avait aucune idée de son identité.
Et évidemment Ryusaki n’avait pas eu le temps de clarifier la situation vu que ces débiles de morts-vivants les avaient attaqués !
Nan mais décidément elle avait vraiment la poisse !

“Hi everybody! Wanna some help? "
Salut tout le monde ! Vous avez besoin d'aide ?

En tout cas important ou pas il allait l’entendre ! Arriver comme ça, comme une fleur, alors qu’ils venaient de frôler le désastre !

« Ouai ! Une mitraillette légère ou un truc du genre qui fasse de gros trous dans une sale tête de zombie ! »

Se rendant compte de ce qu’elle venait dire et du ton employé, elle se calma et continua de façon plus courtoise :

« Enfin si vous avez, sinon c’est pas grave…
Et pour l’aide, je crois bien que vos hommes ont fini de nettoyer ce coin, Monsieur … ? »

Tout avais été très vite, Ferhed avait relâché la corde de son arc et en un instant une femme qui lui était inconnue avait surgit, l'homme qu'il avait secourut avait disparut et l'armée avait déboullé.

Un homme plutot bizard surgit d'un hélicoptère, il parlait anglais, des souvenir surgirent dans la tête de Ferhed, il avait vaguement parlé ce langage a l'école avant d'être capturé.

“Hi everybody! Wanna some help? "
Salut tout le monde ! Vous avez besoin d'aide ?

« Ouai ! Une mitraillette légère ou un truc du genre qui fasse de gros trous dans une sale tête de zombie ! »

« Enfin si vous avez, sinon c’est pas grave…
Et pour l’aide, je crois bien que vos hommes ont fini de nettoyer ce coin, Monsieur … ? »

A en croire par le dialogue, la femme avait compris les dire du type. Ferhed qui croyais tombé sur 2 insectes fut surpris par les gens "normaux" et les zombies, cependant ils ne les interéssaient pas plus que sa, sauf l'homme échappé qui avait pris la fuite, il lui devait un grand merci et ne l'oublierais pas. Il se tournit vers l'anglais et lui dit :

"Moi pas parler ton langage, cependant je souhaiterais que tu ne me suives pas, ni toi ni ton armée."

Il se tourna vers la femme et repondit a sa précédente question.

"Je m'appelle Ferhed, je suis perdu dans un monde que je n'ai pas vu grandir, mais je me defendrais et serait plus fort à notre prochaine rencontre."

Il remit son arc en poussière et remit le tout dans son sac avant de prendre la route plein sud, il leva un bras :

"Tchao, je ne t'oublierais pas, ni toi ni tes grenades et un jour ce sera mon tour de t'aider, je m'en vais sur les traces de l'homme qui était avec toi si tu veux me retrouver, tu sais donc qui chercher ..."

Et il se mit a courir .

Pas le temps de me retourner. Me voilà dans l'ombre. Lorsque je regardai alors vers la zone de combat, des cadavres par dizaines jonchaient le sol, l'armée était là, l'homme que je venait de secourir s'en allait. A peine quelques secondes et me voilà perdu. Je voyais un monde détruit, abandonné, puis d'un coup d'un seul, le voilà devenus militarisé.

" Tant pis pour ma blessure, je dois savoir "

Je repartis finalement vers la zone de combat, quelque chose ne tournait pas rond au sein de la société officielle. Voilà plusieurs semaines que l'on attendait des renforts, et du jour au lendemain il se décide d'envoyer une partie faible de l'armée, néanmois suffisante.

Au bout d'un quainzaine de secondes, me voilà dans le dos d'un grand homme

" C'est seulement maintenant que vous arrivez !! "

Je marchais vers l'homme qui se retourna, l'aggrippa au col :

" Voilà plusieurs semaines que les gens tentent en vain de survivre, Il n'y a plus que quelques centaines d'habitants en vie, cachés. Leur espoirs était de survivre deux jours, attendant l'armée et vous nous avez abandonné!
Je ne vous le pardonnerez pas "

Je tentais, betement, de lui envoyer un direct du droit en pleine figure tant la rage montait en moi.

Bot Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 11/06/2006

Le membre 'Ryusaki' a effectué l'action suivante : Lancer du dé

'GPN' :
[Europe::Paris] Paris - Une ville fantôme D3calque1iy5

Résultat :
[Europe::Paris] Paris - Une ville fantôme Gagn2calque1az7

Princess avait suivit toute l'action depuis un toit proche.

Ces gens étaient là et se battaient contre les zombis.
Elle dégaina son arme et commença à faire du ménage dans la rue.
Elle n'avait pas vu d'humains se battre depuis des semaines.
Elle n'avait vu que contrées désolées et cadavres nourrissant zombis et créatures insectoïdes.
Elle vit soudain un hélicoptère arriver, elle se cacha instinctivement.
Puis l'armée débarqua quelques instants plus tard.

S'il s'avérait qu'elle avait aidé des gens de l'armée elle devait réparer cette erreur au plus vite.
Lorsque le véhicule volant se posa elle vit un homme en descendre.
Il était imposant. Même de loin elle devinait sa haute stature et l'impression qu'il devait produire.
Les humains et lui ne semblaient pas de mèche.
Elle continua à les épier un petit moment puis vit l'un d'entre eux s'en aller.
Elle ne savait pas qui il était ni où il allait mais il semblaient connaître un chemin pour sortir de ce coin sans passer par l'armée.

Elle le suivit donc, restant sur les toits, de manière à ne pas être vue.

Le coup violent du guerrier frappa Gold en plein visage, ce dernier titubat.

"- Hey, what's happen?
hey que se passe t'il?"

Le guerrier s'écria: "des semaines, vous avez mis des semaines à venir voilà ce qu'il y a."

"- Sorry, We have others problems.
Désolé, nous avons d'autres problèmes."

Gold se retourna vers les militaires, ignorant presque la présence de Ryusaki.

"- Hey guys, don't kill them, but lauch the gas.
Hey les gars, ne les tuez pas, mais lancer les gazs."

Peu après, l'armée gazait totalement la ville afin d'endormir les habitants pour un profond sommeil, il fallait éviter d'ébruiter le manque d'efficacité de l'armée, et le manque de volonté de protéger le peuple.

Bientôt la ville fût endormie

- Good, It's over. Paris is alive again!
Bien, c'est terminé. Paris revît de nouveau!

Après ceci, Les nombreux survivants de Paris furent déposé à différents endroits d'Europe. La société officielle se débrouilla, en appelant Tabjile, afin qu'aucun des survivants n'ai le souvenir d'un retard de l'armée.

Malheureusement, Paris n'était pas la seule ville a recevoir le message en boucle de Hayate du clan avalanche. Le peuple, notament les malfras, avaient eu vent de l'incompétence de l'armée.

Tandis que les survivants sont portés disparus, et que l'affaire de Radion#7 est étouffée, d'autres guerriers, plus ou moins connu sur terre, décident de lutter pour le bien du peuple, ou pour leur survie, ou pour une cause plus personnelle.

[HRP] Voilà, le topic de Paris est conclut. Je lance un nouveau topic, à vous de faire avancer l'histoire désormais.

» [Europe : Proche de Paris]
» [Europe::Paris] Une nuit difficile
» [Europe::Paris]Chez Hayabusa (Poster ici pour me rencontrer)
» [France ~ Paris ]