- Nom de votre personnage :Sonia ou Projet 34
- Âge de votre personnage : 17 ans
- Arme de votre personnage : Son corps
- Particularité de votre personnage : Une longue Queue de lézard, plutôt grosse et lisse comme tout, qui fait presque deux mètres la suit partout en tout temps. Celle-ci lui sert de fouet ou d’appuis, cela dépend des besoins ressentis. Projet 34 à la peau et le pelage lisse et brillant, la couleur oscille entre le vert et le doré, alors que ses cheveux sont une myriades de fils blanchâtre et brillant, elle croit que ce ne sont que des fils d’un matériaux qu’on lui a implanter dans le crâne, soit, elle ne sait pas ce que le sait, même si, en regardant bien, ça fait plutôt jolie. Des cornes de Bouc ce sont former et lui donne maintenant une certaine impression de toujours porter une couronne alors cas vrai dire, c’est surtout des instruments pour lui éviter de grand-chose sur le crâne. Sur le bras droit et la joue, à certain endroit le manque de pelage donne l’impression qu’elle s’est fait tatouer quelque chose, sûrement une fantaisie des scientifiques qu’y ont travailler sur son corps. Peut être était-ce un code, quelque chose qui leurs servaient de repère, elle ne sait pas. Ses oreilles ressembles un peut à celle des chevreuils, en tout cas dans la forme. Elle n’a aucune idée avec quoi on l’a mélangé. Ses dents ont été limés, ce qui les a rendus particulièrement coupantes, ont lui a même mit des crocs de taille appréciable. Ses jambes sont comme ceux d’un satyre, bien que finissant plus avec des « pieds » de lézard de ceux d’une chèvre quelconque, malgré le poil lustré qui les recouvres en bonne partie. La seule chose d’insecte qu’elle a trouver sur son corps c’est le fait que sa queue produit, à son extrémité, du fil comme celui des araignées. Peut être cela expliquerait-il ses drôles de cheveux, elle ne sait pas. Sur le bras droit et gauche, sur les avants bras surtout, ce qui avait été des attaches qui la retenait à des chaînes sont rester accrocher à ses membres, ce qui lui donne une certaine protection contre les coups de couteau et autre arme blanche… cinq ou six morceaux de chaînes y sont rester, donc bon… encore un moyen de fouetter quoi.
Sonia a part ailleurs garder un corps à peu près humain, si on compte le torse, les bras, le ventre le dos et le visage. Pour ce qui du reste…
Elle n’a pas perdus la faculté de parler et de son humanité, elle était végétarienne, allez savoir, elle se doit maintenant de ce trouver un goût prononcer pour la chaire humaine… quel étrange revirement de situation! Pour ce qui est des mains, elle a des ventouses sous la paume quelle peut ouvrir et refermer à sa guise quand l’envie lui en dit. Ses doigts sont entourer de petites griffes très minces et quasis invisibles qui n’attendent qu’une prise pour l’y déchirer la chaire ou marquer la pierre…
Elle ne comprend rien au cliquetis, mais étant experte en comportement, elle fini toujours par savoir le fin fond de l’histoire… ou du moins l’émotion qui l’anime.
- Penchant de votre personnage : Insecte?
- Courte histoire depuis l'explosion : Sonia était le genre de fille de famille de riche qu’on ne trouvait qu’une fois tous les milles ans. Son père était un manipulateur en génétique légèrement connu et pour ce qui était de sa mère, elle buvait comme un trou depuis le jour de sa naissance, alors autant ne pas en parler. Elle était enfant unique, et comme pour combler se vide elle se faisait l’amie du plus de gens possible. Elle ne mangeait jamais de viande, car sans doute plus sensible que la moyenne des gens quand elle sut ce qu’on faisait au bétail et autre animaux. Soit. C’était le genre de personne sans grande passion, qui semblait être bien rangé, quoiqu’avec un cratère dans le cœur. Elle n’aimait pas grand-chose. Sa mère était la chose la plus honteuse qui avait attrait à sa vie et elle faisait tout pour ne pas y ressembler. En soit, rien de bien spéciale comme vie minable. Son père lui parlait beaucoup de son travail et vue ses notes qui semblaient toujours frôler ou toucher la perfection, il était fort à parier qu’elle allait elle aussi aller dans un domaine scientifique.
Le laboratoire de son père se trouvait dans l’une des trop nombreuses pièces de la maison, cependant, elle n’avait jamais sut où exactement. À l’âge de ses dix sept ans, alors que son père venait d’avoir un contrat avec quelque chose, un truc politique, elle l’avait suivit, intriguer par tout ce qui se disait depuis trois heures au téléphone… car oui elle espionnait les activités des membres de sa famille. Elle tenait même un journal, depuis ses onze ans l’idée de s’informer sur la vie priver de ses deux parents lui avait traverser la tête. Quand on est seule, on se trouve des choses à faire, voyez… (oui je vois!). Soit. Personne ne l’avait remarqué, même pas son padré, lui qui était pointilleux sur tellement tout.
Bref, pour revenir à cette conversation téléphonique, son vieux ne semblait pas d’accord avec quelque chose qui avait attrait dans le contrat qu’il avait signé.
Cette journée avait prit fin à la bibliothèque. Finalement la pièce de son père se trouvait juste à côté, un simple mais grand tableau lui servant de porte… moyen pour l’ouvrir? Appuyer sur les yeux de la dame. Elle n’avait pas trop saisie le principe de la lumière verte qui était venu scanner les yeux à son père, mais soit. Cela n’avait pas d’importance puisqu’elle l’avait suivit dans son labo…
C’était… Blanc. Oui. Premièrement. Du Blanc partout. Seul tâche dans le paysage? Le gris du métal qui retenait des cylindres où des formes indéterminés flottait tranquillement, comme des fœtus, qu’elle avait pensés. Tout ça ne l’avait guère surprise et ce n’était pas du genre à l’émouvoir. Son erreur résida là dedans. Car ceux qui étaient avec son père cette journée là n’avait pas eut de mal à voir sa présence… Une tache de couleur dans un environnement de blanc, c’est remarquable. La décision fut rapide face à cette jeune fille insipide…
Le père n’eut d’autre choix d’accepter, car on le menaça de dévoiler ses recherches au grand jour, ce qui aurait fait scandale à l’époque, bien que la guerre aurait écarté ce fait bien vite de la préoccupation des gens de ce monde. Face aux menaces donc, le père abandonna sa femme (pas que cela lui fasse quoique ce soit, d’ailleurs) et fut forcer d’aller, comme d’autre scientifiques et experts en tout plein de chose, à allez faire joue-joue dans l’espace…
La fille, Sonia, suivit la troupe, bien obliger, puisqu’enfermée dans un lieu qu’on ne pouvait ouvrir que de l’extérieur…
Le reste de son histoire passe par des moments de consciences brèves et de souffrance quelconque au niveau des membres, de mal de tête et de long coma sans rêve, parfois quelque bride de conversation lui venaient à l’oreille que déjà l’inconscience reprenait ses droits. Ses yeux ne pouvaient s’ouvrirent, la paupière qui les recouvraient rouges de sang, comme toujours…signe que des lumières puissantes lançaient la vision de son corps dans tous ces détails… mais bordel, que faisait-on de son corps?! Son dernier souvenir s’arrête là.
Sa dernière fasse de conscience ne dura que dix minute… Puis ce fut le crash. Elle se rappelait… avant celui-ci et après, s’être réveiller dans une substances jaunâtres, des tubes dans le nez et la gorge. Des écrans où des informations qu’elle n’avait pas apprise à déchiffrer défiler partout dans la pièce, puis un boom inexplicable.
Tous les lieux étaient déserts, quand, pour la dernière fois, ses yeux s’étaient ouverts… où était passer tout le monde? Il semblait qu’on avait évacué les lieux…
Une bête, la gueule pleine de sang et peut être de chaire était passer alors, traînant derrière elle d’autre individus tous étrange les uns que les autres. Elle aurait voulu bouger, mais des chaînes lui empêchaient de faire quoique ce soit. Une crise de panique c’était alors déclencher, envoyant des sons qui avaient alerté toutes ses choses à elle. L’une d’elle, d’on là vision ne figure pas dans sa mémoire, c’était rendu dans son dos et avait briser ses chaînes comme ci ce fut des cheveux. Son corps avaient tomber, mais trop longtemps sans avoir marcher par elle-même, elle fut incapable de ce lever…
Sa tête tourna, puis le vide… noir, profond. Une secousse horrible salua son retour à la liberté.
- Manière dont vous avez connu le forum : Par le hasard… il faut avouer que je chercher un forum de Zombie ^^ Faut croire que je suis tomber sur mieux!
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