La recherche de l'homme en kaki

Dans une rue, voila ou m'avait conduit ce laboratoire, quelle ville? quelle région? quel pays?
C'était
un mystère pour moi jusqu'à ce que je découvre un bar à l'allure
malfamé. Un vieil homme, un seul était accoudé au bar de la serveuse.
Je
m'en approche. L'homme reste concentré dans ses pensées, tout en
regardant son verre de whisky, dans une allure de personne sortie d'un
asile, la blouse que j'ai trouvé dans le laboratoire n'est pas très
jolie a voir, je m'approche de l'homme :
"-Excusais moi Monsieur je suis dans le besoin, j'ai perdu ma mémoire et je n'ai pas de sous, d'autant plus que je ne sais dans quelle ville je suis, ...
-Jeune
homme, je suis moi même dans le besoin mais je vais te payer un coup ce
n'est pas tous les jours que l'ont croise un personne dans ce bar,
n'est-ce pas Cécile ?"
Tout en acquiesçant de la tête, la serveuse s'avance:
"-Qu'est-ce qu'il bois le charmant client ?
-Un grand verre de lait chaud s'il vous plait."
Je me rend conte lorsque les mots sont sortis de ma bouche que j'ai
dépassé les 25 ans et qu'il est surprenant de croisé une personne de
mon age avec un verre de lait chaud a la main.
La serveuse pris une allure de pin-up lorsqu'elle me servit le verre.
quand
le vieillard s'en allât, la jeune serveuse me propose d'aller dans son
appartement au dessus du bar. J'acquiesce et je me rend dans la chambre
qu'elle m'a préparé à la va vite. Elle m'a aussi déposé les affaires
militaires de son mari décédé. Je les enfile sans dire un mot
Après avoir su la date : 07.2058 j'en déduit que j'ai 27 ans
Un malheur de perdre tant d'année de sa vie d'un coup.
Des militaires rentrent dans le bar de la jeune veuve. Ivre, le grabuge
arrive de lui même, la femme ne sais que faire, j'ai envie de l'aider
sans savoir si j'en serais capable.
Ma décision fut prise lorsque
l'un d'eux leva la main sur la femme. S'en été de trop, je me
concentrais, les revolvers des soldats, ils tombaient en poussière
comme la poutrelle dans le laboratoire. Je sors du bar pour ne pas
éveillé les soupçons l'arc se forme a nouveaux, je tire. les soldats
cherchant après leur arme devenait désespéré tandis que mes flèches
volaient a vive allure perçant tantôt la tête tantôt le buste sauf pour
le dernier, j'avais besoin de renseignement alors je m'en approchas :
"-Tu as peur ?
-que vas tu me faire ? MONSTRE
-Dit moi qui est l'homme en kaki qui a assassiné mes parents et je te laisse la vie sauve
-Les hommes en kaki sont des caporal de l'armée, c'est tout ce que je sais, je t'en pris ne me tue pas"
L'arc se dissous en poussière mais celle ci se reforma dans ma main pour
donner une apparence de poignard, et le soldat se fit transpercer de
mes mains par ce poignard en plein cœur, il agonisait mais moi j'étais
content du renseignement dont j'en avais tiré profit, la serveuse me
remercia mais me dit qu'il fallait abandonner le bar de peur de
représailles, elle voulait me suivre mais je ne pût lui offrir qu'une
nuit en ma compagnie avant de reprendre la route. La laissant à son
propre compte. Libre de refaire sa vie ou libre de mourir, elle n'était
qu'une personne de passage pour moi tandis que elle se voyait déjà dans
mes bras ...
"-Pauvre fille..."

J'avançais dans la rue, à ma droite se trouvait le hall d'un grand immeuble, il semblait vide, toutes les lumières étaient déjà éteintes alors que le début de la soirée arrivait tout juste.
Grâce a ma faculté, je fis dissoudre les serrures des portes en poussière, jusqu'à arriver sur le toit de l'immeuble d'où j'avais une vue imprenable sur toute la ville, la rue ou je me trouvais été parfaitement déserte tandis que quelques rues plus loin il y avait un bruit de fête.
Il me fallait aller voir ce qui se passait.
Arrivé dans la rue joyeuse, j'investis une seconde fois un immeuble.
celui ci était plus bas, 12 étages seulement, j'avais une vue imprenable sur ce qu'il se passait.
Il y avait un défilé, des soldats
en grand nombre, la patrie ou je me trouvais devait aimer montrer ses forces à sa population. Tout d'un coup, mes yeux furent guidés vers l'homme qui se trouvait derrière le 3eme régiment d'infanterie, cette homme en kaki, je ne pourrais jamais l'oublier, ce chien galeux a tué mes parents, pris de rage, l'escalier en fer sur lequel je venais de monter se dissous en poussière. Un tas de poussière a ma disposition pour en faire des armes mortels.
Mon arme de prédilection : l'arc se forma, ainsi que la flèche qui allais peut être vengé mes parents. Elle était armé prête a être tirer, je n'attendais que le bon moment pour la tirer.

Bot Nombre de messages : 13 Date d'inscription : 11/06/2006

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La flèche transperça la tête du caporal "Kaki". les 35 membres de d'infanteries se mirent a faire feu dans ma direction. Ils avaient réagis au quart de tour. Je ne les avaient pas vu venir. Le bord de l'immeuble tombait en ruine a cause des balles qui le martelaient.D'un coup une balle vint se loger dans mon épaule. je tombe a la renverse, je souffre, jamais je n'avais connus pareil douleur. La balle n'était pas ressortis. Il fallait la faire sortir de toute urgence. Devant le fait accompli, j'utilise mon pouvoir pour la dissoudre, verras bien ce qui se passera. Je souffrais tandis que la poussière du métal de la balle sortait. J'espèrais que tout soit bien sortis. Le sang continuait de couler, j'arrachai le bas de mon pantalon et me fit un garrot avec espérant que sa tienne le coup. Des soldats qui me mitraillaient commençaient à hurler de douleurs. Dans mon état second ou je me soignais, j'avais sans m'en rendre conte, utilisé tous le tas de poussières qui se trouvait à coté de moi. En regardant furtivement, je vis que des pieux de métal s'étaient écrasé au sol. Je n'avais pas su me contrôler dans mon état de colère, je devenais un danger, des innocents avaient péris, mais j'étais heureux, je devais m'en aller de la.
Des hélicoptères arrivèrent, j'avais besoin de matières, les palles du 1er hélicoptère me servirent a merveilles.
Une barre se matérialisa derrière l'immeuble jusqu'en bas. Je m'y accrocha grâce a mon t-shirt et je saute. Pendant la descente, mon épaule me faisait souffrir d'autant plus que le sang coulait plus, du fait que je contractais mon muscle.
Arrivée en bas, je descendis dans les égouts et je m'échappa, j'irai le plus loin possible, il me fallait du repos au calme loin de cette ville.

Fin du chapitre