Un corps était étendu par terre, semblait gire dans cet endroit mort. Les rats marchaient librement dans les décombres qui l’entouraient alors que des voitures étaient dans un état de stabilité précaire.
Tout n’était que poussière, à peine le vent arrivait-il à en faire partir une traînée que d’autre pincée de cette merde prenait la place. Des gémissements de blesser sortait d’une rue, un peu plus loin. Comme ci se fut le réveiller matin du gars, celui-ci ouvre difficilement les yeux, l’air d’avoir eut une vieille plutôt rude.
Gémissant à son tour, le mec s’assit en indien encore inconscient de se qui l’entourait, à cause de la fatigue ambiante qui nageait encore dans ses yeux bleu.
D’une main incertaine et poussiéreuse, il dégagea ses cheveux de son visage, question d’avoir une meilleure vue. Le corps penché par en avant, il sembla, pendant deux seconde, sur le point de vomir.
Une odeur de chaire brûler emplissait l’air, sans parler du fait de deux êtres en décomposition dans une voiture un peu plus loin.
Se levant alors, il se mit à tousser comme un défoncer, sa gorge le brûlait et une crampe s’insinuait dans ses côtes.
Une fois qu’il eut évacué le sang coaguler à travers la bave que ses toussotements brusques lui faisait recracher, il eut bien vite fait d’ouvrir des yeux horrifier en les promenant sur le paysage.
Toussent encore un peu, il se retournant avec l’étrange impression de savoir déjà ce qui s’était passer.
Se tenant les côtes d’une main, il prit le chemin, insensible au gémissement des blessés sur son passage, de sa maison.
Une fois arrivé, il ne fut pas surpris de voir ses parents morts, l’un de ses bras à son père envoyer un peu plus loin dans la pièce pour cause que la vieille, il coupait tranquillement des légumes pour la salade et que dans la secousse, le couteau est fait un méchant mouvement.
À voir la blessure, par contre, il ne sembla pas s’être couper au complet, non, peut être fut-il arracher pour une raison plus obscure…
*Maman…?*
Se demandait-il en cette instant, les larmes les plus amères qu’il est connue de sa vie baignant ses yeux d’une allure globuleuse.
C’est comme si quelque chose se brisait en lui au moment précis où les macabres découverts se firent. Dans les profondeurs de son esprit, se fut trop grand, trop dure, trop gros pour qu’il ne le voit.
Il se voyait maintenant comme un survivant, une bête blesser, abandonner, il aurait mieux fait de mourir mais il était en vit!
Qu’est-ce que ça voulait bien dire? Est-ce que, quelque chose quelque part l’avait choisi pour une tâche précise? Il n’en savait rien, il se questionnait comme ça juste après avoir prit le temps de vérifier, les yeux inexpressifs, si les douches marchaient encore.
Heureusement oui, mais il n’avait plus d’eau chaude. De toute manière, qu’est-ce que sa pouvait faire, y’avait pas de raison d’avoir de l’eau chaude pas plus qu’il n’y avait de raison qu’il vive…
Une fois la douche froide, en plein air je précise puisque le mur avait été démembré, il alla prendre ses vêtements, tout en se demandant quand le putain de soleil allait réapparaître.
S’habillant avec ses linges les plus sombres tout en se confectionnant une sorte de baluchon en reniflant, il laissa modifia l’une de ses ceintures pour pouvoir mettre son épée et son fourreau derrière son dos.
Quand à ses deux Katanas, il n’eut qu’à les passer dans les petites languettes de son pantalon de cuir.
N’aillant pas de provision à faire puisque ses parents avaient la manie de n’acheter que ce donc ils avaient besoin pour faire le petit déjeuné, déjeuné et dîné, et bien…
Nada, que dalle, rien pour se mettre sous la dent.
Donc…
Heureusement, il y avait de l’eau. Il en prit pour deux gourdes qu’il mit dans l’un de ses sacs de voyage.
… Il n’avait besoin de rien d’autre.
Se mettant en route, il se rappelait les nouvelles qu’il entendait à la télévision et à la radio, on parlait des agents ou d’un truck du genre.
Pour sa part, s’était des enfoirés, et il savait que ses enfoirés avaient quelque chose à voir avec cette merde.
Il avait l’intention d’avoir des réponses…