[Europe] Un bâtiment neuf

(Jamais fort aimé qu'on prennent les décisions pour moi pour dire ce que mon perso regarde etc^^)


Un ricanement retentit dans la taverne tandis que le corbeau se tenait au dessus d'un cadavre, la main au dessus de la tête de celui ci, comme si il méditait puis il se releva, un sourrire étirant ses traits puis il se retourna vers Mask

"Renton... Je m'en souviendrais... Si t'a besoin d'quelqu'un pour les salles boulots, j'viens de décider de devenir un mercenaire..."

*Et aussi j'viens d'apprendre pourquoi je suis toujours crevé apres un combat...*

Un télépathe ou quelqu'un dans le genre aurait pus deviner ce que le Corbeau venait de faire malgré lui mais appart l'aveugle, il pensait être le seul a avoir découvert une modification dont il ne conaissait pas l'existence avant ce soir... Un volleur d'esprit...

juste une petite parenthèse dans le déroulement:
je m'escuse auprès du corbeau, promis j'referai plus! voila c'est tout!

(Bon bah... Je tiens à faire rappeler que les mp Existent ^^ Et je viens foutre la merde suite aux chère soldats... )

Renton... Je m'en souviendrais... Si t'a besoin d'quelqu'un pour les salles boulots, j'viens de décider de devenir un mercenaire..."

C’est la première voix qu’elle entendait depuis longtemps. Même ci elle avait perdu le sens de la parole, elle la comprenait encore.

Le mot mercenaire n’était pas son répertoire d’ami… sauf ci il peut servir à de bonne fin pour elle. Tout ça, elle le pensait dans un échange de cliquetis avec ses compagnons.

En tout cas… Le temps n’était pas à la penser, mais à agir…



La porte s’ouvrit alors, pour on ne sait plus combien de fois dans la soirée, réservant une nouvelle surprise à tout ce beau monde.
…Jolie… Jolie… Surprise.

Une grande rousse à l’allure perdu entra alors, presque en trébuchant alors qu’une ombre rapide comme la noirceur passa à côté pour le fondre dans la nuit qui longeait les murs du pub.
Ses cheveux courts n’arrivèrent pas à cacher son visage plus d’une fraction de seconde avant que la jeune femme ne s’étala complètement à terre, l’air d’avoir trébucher sur quelque chose avec une sorte d’inattention qui lui valu un saignement de nez à voir le dur coup qu’elle reçue en pleine tronche…

Ses réflexes pourtant rapide n’avait pas suffit cette fois à préserver son visage dans la chute.

Enfin bref.

C’est en se mettant à genoux, sans prêter attention aux autres pour l’instant, que le visage pencher vers le sol et ainsi cacher par ses cheveux, qu’elle tata son nez avec douceur, avant de grimacer légèrement.

Tout cas, la porte du pub était rester ouverte, ce qui laissa libre court à l’air de dehors de venir faire un tour tout ce qu’il y a de plus innocente pour dégager le visage de la jeune femme de ses cheveux et ainsi de dévoiler les petites traîner sanglantes sur son visage.

Aucun son n’était sortie de sa bouche jusqu’alors.
Ses yeux verts parcouraient les gens présent avec une sorte de gêne et d’impression d’analyse, la main toujours sur le nez.

Hayate était toujours là, les mains dans les poches, adossé contre le mur près de l'entrée. Il était resté là en tant que spectateur pendant le combat, il vit quelques nouveaux arrivant depuis le début du combat mais la dernière apparition le marqua. Qui est-ce ? Que fait-elle ? Il se posait beaucoup de question sans réponse. Il fut irrésistiblement attiré par cette femme, une sorte de mauvaise attraction, il le savait. Pour se changer les idées il sortit du Pub et regarda les étoiles. Ces cheveux blonds volaient au grès du léger vent, il se sentit bien, très car cela fait longtemps qu’il n’a pas vu un ciel aussi dégagé. Il laissait la bise fraîche caresser son visage, il y a longtemps aussi qu’il n’a pas sentit une si belle fraîcheur.

(Oui il faisait nuit !)

Akasha tourna la tête vers le jeune homme qui venait de sortir, ses yeux brillant légèrement alors que son dos était dans son champ de vision. Puis redevant normal, elle se leva tant bien que mal.

Ne pouvant parler, elle avisa un jeune homme assis au comptoir…

Plissant les yeux légèrement tout en essuyant pensivement son nez avec son bras, elle cligna des yeux une nouvelle fois…

Sa respiration était calme, avancent cette fois avec plus de volupté qu’a son entrer, elle passa a côté des corps sans s’en soucier, ses bottes ne produisant qu’un faible bruit à chaque pas.

Elle aimait l’absence de la lumière dans cet endroit, s’était très bien pour chasser ou attirer quelqu’un dans un coin sombre… désertique…
Se mordillant la lèvre inférieur, elle passa à côté d’un gars qui portait un grand manteau noir avec une sorte de gêne sur le visage, ne pouvant parler mais sachent très bien qu’il faudrait qu’elle s’exprime un jour ou l’autre… Le regardent du coin de l’œil tout en continuant, elle détourna son regard pour finalement arriver au comptoir.

Tout ses gestes étaient calculer, passent une main dans ses cheveux, c’est sans doute avec surprise que les autres personnes présentes virent un chat lui sauter sur les genoux pour s’assire confortablement sur la dame, l’air de surveiller les alentours.

Caressent la bête d’une main, les lèvres toujours closes, elle repassa son bras pour enlever le reste du sang sous son nez et doucement, ce mit à humer l’air avec discrétion.



L’air charriait des odeurs de peau en décomposition qui venait de loin, le gars avec un manteau noir sentait l’encens, au milieu de la salle, une petit pincette de poudre à canon était présente…

Les corps qu’elle distinguait clairement du fait qu’ils ne bougeaient plus lui envoya un flash mental de se qu’elle avait vue normalement pour la dernière fois avant d’allez faire joujou avec les seringues dans les labos.

Les muscles de sa mâchoire tressautèrent à peine à ce souvenir…



Passent machinalement sa langue sur ses lèvres en trouvant tournant la tête vers le comptoir pour, en étirant son bras, harponner un bloc note et un stylo, elle commença à écrire lentement, comme ci un effort de mémorisation des donnés s’effectuait.

Fidèle à son habitude qui, elle le devinait, ne tarderait pas à devenir agaçante pour les personnes qui l'entouraient, Anji était restée de marbre lors de l'arrivée de la nouvelle venue, la regardant s'étaler au sol et saigner du nez.

Ce ne fut pas sa maladresse, ni son innoncence apparente qui intriguèrent la jeune rebelle...mais le fait qu'elle ne parlait pas, gardant les lèvres closes la plupart du temps, avec dans ses traits et son attitude quelque chose d'étrangement reptilien...

*Elle n'est pas...normale...* pensa Anji avec un léger froncement de sourcil qui dessina un pli imperceptible sur le bandeau couvrant ses yeux.

La nouvelle venue s'assit, prit un chat sur ses genoux et se mit à écrire, toujours dans le silence le plus complet. Anji ne s'empressa pas de le briser. Elle aimait les silences gênants...et gênés.

"Il y a un poisson...dans cette pièce..." fit-elle d'un ton extrêmemant percant et méfiant, se moquant que les autres la prenne, ou non, pour une folle à l'annonce de ses étranges paroles...

*Un poisson dans la pièce... Je crois qu'elle a trop bu...*

Mask avait commandé une autre bouteille pour terminer la soirée en beauté... Non... La nuit. Le barman était revenu peu après, probablement pour éviter de se faire chaparder sa marchandise. Le pub était presque redevenu aussi normal qu'avant la bagarre. Bien entendu, il restait les corps des agents, mais personne n'y faisait attention. C'était commun, en fait.

Bon, quelle heure est-il ?... "Cinq heures du mat'..." murmura Mask en regardant l'horloge du pub, toujours intacte...

*Encore une nuit blanche... Je vais m'affaiblir si je ne dors plus...*

Non. Il se passait trop de choses la nuit. C'était bien plus excitant que la journée, où le ciel était agressant et l'atmosphère extrèmement lourde. Pas la peine de penser à ça ! C'est fait, c'est fait. Après tout, une nuit de plus ou de moins... Profitons-en puisqu'elle n'est pas finie. Peut-être qu'ils vont appeler l'armée du parti ? Ils ne s'avouent jamais vaincus aussi vite d'habitude...

"Hum... 'Vais prendre l'air un coup..."

Mask se leva et sortit du pub. Tiens ? Encore un rebelle. Qu'est-ce qu'il nous fabrique dehors ? Bah, ça le regarde.
La nuit, le paysage était à peu près regardable. La ville était très délabrée, mais beaucoup de gens avait improvisé des éléments de bâtiments pour combler les vides. Le jour, ça se voyait. La nuit, moins. De plus, le ciel était éclairé, sans nuage, exhibant sa foule d'étoile et la pleine lune.

*Voilà que je rêvasse dans les étoiles... Faut que je me reprenne...*

Malgré ces pensées, Mask s'assit au pied d'un mur et continua de contempler le ciel.

*Je serais sûrement réveillé par les bruits de moteurs des chars de l'armée...*

Et il s'endormit.

Ménédas en voyant mask s'alonger et dormir ici, voulut en faire de même. Il entra dans le bar et fit un signe à Hayabusa qu'il compris : on restait ici.
Puis il s'acroupit dehors et profita de la nuit fraiche pour se reposer.

*Tros bourrin à mon gout ce mask, c'est un bourrin crétin*

Puis il s'assoupi avec vigilance, pas tros profondément.

Le bar se vida peu à peu, laissant les ivrognes seul devant leurs verres...

Corbeau prit son temps pour examiner la nouvelle arrivante... Il n'était pas le seul a le faire mais les autres ne le faisaient surement pas comme lui... Certes très belle mais, lui, il savait de quoi elles étaient capable... les femmes.

Soudain, son regard accrocha celui du chat sur ses genoux puis celui de la jeune femme, il ne baissa pas les yeux, au contraire, il se leva et quitta le bar, presque persuadé que la femme viendrait... Pour une raison qu'il connaitrait probablement un peu plus tard...

Une fois dehors, il alla s'assoir sur un muret a moitié détruit, se perdant dans ses pensées...

Anji ne répondit tout d'abord pas, se contentant de tirer de sa poche un antique paquet de cigarettes "Made in Germany" qu'elle ne sortait pour les grandes occasions. Il ne s'était rien passé de particulier ce soir mais la jeune fille pressentait un tournant suivi de grands évènements.

Apparement, le jeune homme nommé Hayabusa n'avait pas compris la signification de ses paroles...Anji haussa les épaules; peu importait. La nouvelle venue, elle, comprendrait.

"Oui" fit-elle d'une voix basse, alors que le souffle de ses paroles projetait de la fumée alentour. "Tu as raison, il y a surement beaucoup de poisson..."

La jeune fille proposa une cigarette aux personnes qui n'étaient pas sorties et se remit à picoler sans retenue. Il était étonnant de voir à quel point elle tenait l'alcool puisqu'elle n'avait pratiquement pas arrêté de boire toute la soirée.

"Une bande de joyeux lurons qui n'ont pas peur des emmerdes..." souffla t-elle du bout des lèvres, si bas que très peu de personnes l'entendirent.

Le dernier agent qu'elle avait torturé était toujours allongé au sol au milieu des cadavres, haletant et terrifié, mais vivant. Anji se pencha et le chopa par le col pour lui siffler à l'oreille:

"Dis à tes potes qu'ils peuvent venir quand ils le souhaitent. On pourra jouer encore ensemble"

Tout en continuant à écrire, Akasha leva des yeux étrangement réveiller sur la jeune femme avec la moitié visage bandé.

Alors qu’un mince sourire venait jouer sur ses lèvres.
Déposent le papier sur le comptoir, le mettant à la vue de qui voulait bien le lire, elle prit une grande bouffée.

La jeune femme semblait être plus perspicaces que ses compagnons d’infortune. Ça promettait d’être intéressent. D’autre part, elle se trouvait dans le nid de la guêpe et n’aimait pas être entouré d’autant de personne.

Serrant la mâchoire en laissant échapper un très faible cliquetis de mécontentement, elle promena son regard dans la pièce, son espèce de sourire toujours accroché aux lèvres…

Le chat miaula alors, comme un signal quelconque. Caressant sa tête, elle suivit son regard. Le grand efflanquer?.... Hum…

Laissant la bête descendre de ses genoux, elle garda le bloc note et le crayon avec elle et prit le temps de se fondre dans l’ombre des murs, tout en étant consciente que les autres l’avaient vue, et tatati et tatata…

N’empêche que deux secondes plus tard, les deux objets étaient à terre, sans propriétaire distinct et que la jeune femme semblait avoir disparut du portrait.

Le papier toujours sur la table…

D’ailleurs, voyons voir ce qu’il disait, se papier :

Bonsoir,

Bienvenu dans le plus gros merdier que la terre est connue.

Je voudrais vous faire part de quelque information que je détiens de manière sans équivoque sur le fait que des laboratoires génétiques sont tomber comme des pommes sur cette grande, vaste, et déplorable planète qu’est rendu la votre, et qui était la mienne il y a de ça, il me semble, des années.

Faite attention où vous marchez, à ce que vous pouvez chassez, à ce que vous combattez. Les transformations génétiques ont la fâcheuse tendance à être des virus qui se plaisent à se transmette par le sang.

Dans un monde parallèle, cependant, la grande chance que vous puissez vous démerdez avec tout ça est quasi nul… disons que votre chance de réussit et après la virgule.

Sachez quand ce moment, ce n’est pas moi qui écrit mais mes derniers souvenirs qui me reviennent.

Pouquoi vous dire tout ça? J’en sais rien, p’t’être parce que j’ai déjà été des votre, ou, comme le penserait la dame, pour vous sensibilisez et vous endormir pour une confrontation sanglante?

Enfin, à vous de voir

Véronica.

MiG, qui s'était assoupi un moment en sirotant le fond de son verre de lait-grenadine, fut réveillé par l'agitation qui regnait à nouveau dans le pub.
Il avait entendu dire que de nouveuax agents allaient arriver d'ici peu et que ça allait être le bronx à nouveau.

*bon...si y a la bagarre il vaux mieux que je me mette à l'écart, c'est là que je suis le plus utile*

Il prit alors son fusil, emballé dans une housse, et le déballa minutieusement. Il prit une chaise inoccupé et s'installa derrière le comptoir, en face de l'entrée du pub. Il sortit de son sac le silencieux pour son fusil et le vissa, soucieux des autres personnes présentes. Il retira le cache de la lunette et jeta un coup d'œil au tavers.

*Parfait!.....pile dans l'axe du boulevard. Ils peuvent venir...on les attends.*

Et s'adressant aux autres personnes dans le bar:
"J'vais pouvoir vous donner un coup de main ce coup-ci !!!"

Alors que tout le monde avait déjà oublier sa présence, que ceux-ci parlait où s'en allait selon leurs désirs, Akasha pour sa part, attendait gentiment que les ... comment ils les appelaient? Ah ouais! Que les prochains agents se ramènent le derrière avec une sorte de joie sourde et enfantine.

Étand rendu dans le fond du bard, plus spécialement là où aurait du se trouver un Dj, ses enteines frémirent doucement sous sa peau, comme une invitation.

Curieuse, elle toucha les différents boutons et petit levier sans faire de geste brusque pour ne pas déclancher quelque chose...



Malgré la bonne velonter de la jeune femme, les lumières colorés s'allumèrent soudain et se mirent à bouger sans qu'il n'y est de son.

Tout le monde s'était tue, et la Véronica, l'air surprise, car elle l'était, recula un peu, pas trop sur sur ce coup là.

Jusqu'à ce que, des portes d'en arrières, où on jettait généralement les saoulards gênant, les autres agents entrèrent, armes en main, près à tuer tout résistant qui résisterait (alalala...).
Ce fut comme un déclanchement dans la tête de la rousse et, en moins de deux, son virus prit le contrôle d'elle.



Le silence s'était fait jusqu'à l'arriver des connards. Et même quand Akasha s'élança en montant sur la consolle de son et que ses pieds fient bouger quelques boutons, la seule chose qui réanima la scène fut la musique importune qui semblait faire exploser l'espèce d'immobilité.
Ses entennes sortirent en plein plannages, si je puis dire, et sa bouche s'ouvrit jusqu'aux creux des machoirs, donc, révélant plusieurs belle paires de dents.

Tombent sur l'un des agents, sa langue sortie et agripa de ses canines le coup, celui-ci cria très fort avec beaucoup de terreur, mais très vite il se tue. Alors que les autres étant venu ici pour une mission précise, n'y faisait pas attention, ne l'aillant pas entendu.

Malgré les lumières, les gens qui regardaient dans une certaines direction purent clairement voir une giglé de sang ou deux éclabousser tout ce qui l'entourait à un mètre de distance...



*Vraiment ils auraient du changer d'habit, ces enfoirés. Les souvenirs qu'ils viennent de me réveiller risque de leurs faire plus de mal que de bien.*



Les entennes étaient sortie, projetant des petits cliquetis dans l'air avec une sorte de joyeuseté rythmique. Les yeux verts émeraude de la dame s'étaient allumé mais restait toujours aussi mauvais pour regarder.

Hayate fut reveillé par le crit de mort d'un agent. En sursaut il se levit et empoigna son épée. Une dizaine d'agents entrèrent dans le bar avec des armes différentes criant et hurlant. Hayatene réfléchi pas et tira une volée de carreau qui en tuant trois et d'une rapidité et d'une précision incroyable il sauta sur un agent qui se tordit de douleur en s'apercevant qu'il s'était fait trancher le ventre, il tomba ensenglanté. Puis Hayate s'arreta debout face aux agents en les fixant, tous tombèrent en même temps avant qu'il ne s'apercoivent qu'il les a tranché à leur tour. Puis d'un ton sévère il dit :

"Cela devient vraiment dangereux ici, cette fois il vont ce ramener avec des lieutenants armés, même des armes à feu, alors planquez vous!"

En effet, comme l'avait dit Hayate, un convoi de l'armée déboula sur le boulevard face à l'entrée du pub. Les lieutenands criaient les ordres aux soldats:

"surtout ne laissez aucun survivant, compris? J'veux voir ces sales rebelles morts!"

MiG se mit en position de tir, visa le chauffeur de la jeep blindée, et tira avec une précision incroyable dans la tête de ce dernier. La jeep perdit alors tout controle et rentrat dans un mur, assomant les lieutenands. MiG rechargea son fusil et se remit à viser. Au moment même où il fit feu, le pneu du camion transportant les soldats vola en éclats. Le camion fit alors un tonneau et envoya les soldats dans le décor.
Peu après le choc qu'ils avaient reçus, les soldats se relevèrent et courèrent se mettre à couvert. Il commencèrent alors à avancer vers l'entrée du bar en tentant d'échapper aux tirs redoutables de MiG. Il en visa et en abattu quelques uns mais le plus gros se dirrigeait maintenant hors de portée et se regroupaient près de l'entrée du bar. MiG lanca aux guerriers dans le bar:

"C'est à vous de jouer les gars! ne vous inquiètez pas y en aura pour tout le monde!"

L’agitation… Trop D’agitation…. Trop de sang…

Se levant rapidement, la tête d’un officier partie rejoindre son confrère qui était déchiqueté quelque mètre plus loin.

Tous ces petits piques qui sortaient de sa peau la rendaient dangereuse à une distance raisonnable, ne pouvant garder la bouche fermée à cause de ses multiples crocs lui donnait un air étrangement vorace. Ses yeux brillaient d’une lueur malsaine alors que son corps se mouvait avec une grâce mortelle.

Tournant sur elle-même, l’une des personnes présentes dans frôla son bras et sa peau fut couper assez profondément pour lui faire tomber son arme sous la douleur, de cette manière, sans défense, une balle traversa sa tête, éclaboussent le sol du cerveau de l’homme.

Tout était flou, les mouvements, les yeux, les armes. Rien ne l’empêchait de se faire tuer à tout instant si ce n’était la peur instinctive qu’elle inspirait en se moment même.
Son virus faisait pulser son cœur à toute allure alors que ses mouvements n’étaient plus que ceux d’une bête assoiffée de violence et de sang.

Alors que ses vêtements en étaient remplis, elle courrait pour sortir du Pub, sans se soucier de ce qui pourrait arriver, de toute manière elle allait trop vite. Ses antennes, quand une personne était trop proche, se planter dans l’œil du dit humain et en ressortait comme ci se fut naturel. L’œil glissait le long de l’antenne jusqu’à se faire écraser sur le sol.

Des habits de soldat, y’en avait partout, et toujours, s’était eux que son virus attaquait, par-dessus il semblait avec une haine déjà nourrie pour le virus et Akasha qui était en commune.

Apercevant un mouvement brusque sur sa droite, elle vue de manière précaire un jeune homme tomber à terre, sans habit et un agent sembla acharner dessus. Mécaniquement, elle changea brusquement de direction et, avant que la crosse de l’arme n’assomme le jeune homme étendu à terre, une bête, ou plutôt elle, sauta sur l’officier en projetant une espèce de son rageur, un peu comme les chats.

Envoyant prête le casque de l’homme, toutes ses dents s’acharnèrent sur son coup, arrachant lambeau de peau et autre joyeuseté dans se genre. Les cris de douleur et de terreur ne faisait qu’exciter encore plus ses sens…

Plus qu'intriguée par la lettre qu'avait écrite Akasha, la nouvelle venue dont elle ignorait le nom, Anji s'était tue. On pourrait croire qu'elle y attachait peu d'importance mais un très infime changement dans son attitude montrait que cette lettre n'était pas de moindre importance. En effet, la jeune fille avait arrêté de boire.
Elle fronça les sourcils mais, avant qu'elle ait pu dire quoi que ce soit une armada d'agent déboulèrent sur le boulevard, aussitôt acceuillis par les gens présents dans le pub qui avaient si bien fait démonstration de leur force tout à l'heure.
Anji resta assise au même endroit, observant Akasha.

"Le poisson...s'éveille..." murmura t-elle dans un souffle.

Une balle faillit la toucher; elle fut retenue comme par une sorte de champ de force à deux centimètres du visage d'Anji. Celle-ci regarda distraitement dehors et apercut le jeune homme qui s'était présenté un peu plus tôt, Hayabusa, se prendre une balle de plein fouet.

*Ca doit faire très mal...*

La jeune fille se leva tranquillement et commença à traverser le pub, sortant sur le boulevard au milieu des balles, des cadavres, des projectiles et du démon reptilien qu'était devenu Akasha. Pourtant, rien ne semblait l'atteindre; tous les objets, quels qu'ils soient, s'arrêtaient à 3 centimètres de son corps.
Anji redressa la tête, essayant de voir dans quelle direction était parti Hayabusa.

MiG, pendant que les vagues d'agents entraient dans le bar, se precipita sur le toit du pub par l'escalier de service. Il s'installa donc sur le toit avec son fusil et prit les couleurs qui l'entouraient. Quasi invisible, Ik se en postion de tir et abattu plusieurs agents dans la rue en dessous. Avec son silencieux, et le désordre qui regnait en contrebas, les agents ne s'apercevaient pas qu'ils tombaient les uns après les autres sans même voir l'ombre du tireur. Au loin il vit un autre fourgon bourré d'agents foncer dans la direction du bar.

*Encore des renforts!....eh bé, ils lésinent pas sur les moyens pour arrêter une poignée de rebelles!*

Voyant que plusieurs gars du pub avaient été touchés, MiG décida de les soulager. Il sortit de son sac une balle explosive récupérée dans les décombres de l'usine d'armement, chargea son fusil et tira dans le moteur du fourgon qui explosa sur le coup et projetta des agents dans tout les sens.

"Et voila le travail!" se mumura-t-il à voix basse, "j'espère que ça va se calmer un peu maintenant..."

Hayate compris en voyant le désordre qui régnait ici et la blessure de Hayabusa qu'il fallait s'en aller. Il finit d'en tuer quelques uns et parti en direction du QG du groupe Avalanche. En se retournant il cria au groupe qui essayait de resister :

"Eh! barrez vous il vont vous encerclez! Je vous conseille de fuir! Bonne chance comme même!"

Puis il disparu du champ de vision des aventuriers.

Derek sortait du bar calmement, en frappant des agents qui se jettaient sur lui pour l'immobiliser.

" Mon bar préféré n'est plus ... Bon je rentre ..."

Il monta sur un cadavre et regarda autour si il n'y avait pas un bureaux de tabac mais il n'en vit aucun

" Nom de ... d'un chien, c'est pas vrai, j'ai pu de ..."

Un agent bondit derriere lui, mais Derek qui l'avait entendu, s'écarta et le laissa de ramasser lamentablement avant de lui tirer une balle dans le dos en continuant a scruter l'horizon.

" ... de cigarettes ..."

Il descendit, se dirigea vers un homme à terre qui avait été frappé par un assaillant armé d'une batte, se baissa en faisaint voltigé sa longue veste derriere lui et s'écria pour pouvoir etre entendu :

" Excusez moi mon fils, Sauriez ... SAURIEZ VOUS OU PUIS JE TROUVER UN BUREAU DE TABAC DANS ... DANS LES PARAGES ... LES ENVIRONS !!!
et merde, il est mort ...
Bon de toute facon, il fallait que j'arrete, c'est l'occasion."

Il se releva et regarda autours de lui, il y avait des cadavres partout, des voitures brulés ainsi que des fourgons, et des personnes couraient partout en criant. Il se mit au milieu de la route et essay d'interpelé des habitants.

"Excusez moi ... S'il vous plait ... Madame ... Monsieur... Mon fils ...Vous labas ..."

Il s'arreta net, sortit son mousquet et chargea une balle pendant que le monde autour de lui semblait en feu. Il releva la tete, pris la premiere personne qu'il vit en cible et tira dans la jambe. Il se dirigea vers elle et lui dit calmement :

" Bon, je ne vais pas y aller par 4 chemin, j'en ai marre de vous appellez mes fils bande de tas de merde, Affolez vous, Courrez, Fuyez, faites ce que vous voulez mais là, j'ai besoin d'un renseignement ! tu as deja été en manque de cigarette ??? Moi, c'est le cas, je te conseille de me dire ou est le bureaux de tabac le plus près, ou je t'enterre moi meme dans une fauce a purain, comprendo ? "

L'homme couché par terre, tremblant, ensoglanté, perdant du sang dit :

" No, no comprendo ce que usted esta diciendo señor !"

Derek se releva d'un air énervé et s'exclama :

" putain d'hispanique !" et il tira une balle.

" Bon je vais ou moi ? "

Il ouvrit sa poche et sortir sa montre a gousset, et regarda l'heure. Elle indiquai 15h45.

" Ca va etre l'heure de ma messe"