[Europe] Un bâtiment neuf

Mask transperça le capot du fourgon, ce qui endommagea le moteur et le fit exploser quelques secondes plus tard, le temps que Mask s'écarte. Puis il profita de la mêlée pour tuer quelques agents.

"Pffff, ça devient monotone..."

Il vit le colonel... Euh... Caporal... Non, capitaine, c'était quoi déjà ?...
Il vit Derek sortir du pub tranquillement.

*Hum... Il se fout de la gueule du monde, lui.*

Un agent attaqua Mask par derrière, mais ne réussit qu'à se faire balancer violemment contre le mur. Deux autres arrivèrent, le premier se placa à distance pour tenter de tirer sur Mask, et l'autre l'attaqua au corps à corps, avec un électrificateur. Mask esquiva les premiers assauts, puis il immobilisa le bras de l'agent, et l'électrocuta avec sa propre arme. Le "sniper" essayait de viser, mais n'y arrivait visiblement pas. Mask avança d'un pas décidé vers lui, traînant l'autre par terre. L'agent recula d'un air appeuré.

"Maman... J'veux pas mourir..."

Il se décala, se placa, et tira sur Mask, qui se servit de l'autre agent à moitié mort comme d'un bouclier. Le tireur vida son chargeur sur son coéquipier et lâcha son arme en gémissant.

"Seigneur !... Au secours !!"

A l'intérieur du pub, le barman était caché derrière son comptoir, armé d'un fusil à pompe récupéré sur le corps d'un des agents.

"Pitié... Laissez-moi tranquille..."

Quelque chose passa par la fenêtre... Le corps d'un agent. Il atterrit juste à côté du barman, qui poussa un cri d'effroi.

"Oh... Putain..."

L'agent murmura d'une voix tremblante :

"Une bière..."

Lorsque Mask eût fini d'abattre tout les agents qui l'entouraient, il alla à la rencontre de Derek.

"Ça va etre l'heure de ma messe."

Mask répondit d'une voix perplexe :

"Je crois que t'as autre chose à foutre que de prier..."

(Je sais que vous avez besoin de supprimer un peu de votre stresse mais le post baston je pense que c'est un peu floodé et abusé la nan? ^^)

Corbeau qui regardait tous ce chaos avec un sourcils levé était en train de songé a un petit dicton au sujet des agents...

Quand y'en a plus y'en a co...

Il haussa les épaules en attendant tranquillement dans son coin que tout ce carnage inutile se finisse...

Quand le dernier agent se fit tuer Corbeau applaudit et dit d'une voix glaciale

"Vraiment un joli carnage... On va devoir se tirer a quarantes killometre d'ici pour pas s'manger un ou deux missiles... J'espere que vous ne teniez pas a ce ptit village pasque quand vous le reverez ce sera plus que des ruines..."

Il fit un geste ample des bras

"Comme tout ce qui nous entoure! Tout commence par la violence et finit par la violence..."

Une fois ce spitch finit il se coucha sur son muret et attendit...

(Nan^^Pourquoi?)

Anji secoua négativement la tête d'un air exaspéré en entendant les paroles de Corbeau et s'approcha de lui, en soufflant d'une voix basse comme à son habitude:

"Eh, le piaf...t'a pas l'air d'avoir saisi la situation. On est des rebelles! ...Pigé? Ca veut dire qu'on approuve pas tout ce monde autour de nous...alors, un bar de plus ou de moins...maintenant si t'as les chocottes, pas de problème! On dira tout simplement pas aux autorités, si on se fait coffrer, qu'il y avait un corbak dans le lot"

Sa litanie finie, elle soupira et s'approcha du duo Mask/Dereck. Ce dernier semblait sérieusement en manque de nicotine et personne, dans le chaos ambiant, ne semblait décidé à lui indiquer la proximité d'un marchand de tabac. Elle montra du doigt une petite rue sombre qui débouchait, quelques mètres plus loin, sur l'avenue principale.

"T'as un tabac à deux rues d'ici" fit doctement Anji. "Si t'a peur de pas tenir jusque là, je peux dépanner"

(Oh? comment t'a deviné le nom de mon perso toi? )

Corbeau ricana doucement et pausa une question très simple

"C'est qui on? Depuis quand j'ai dis que j'étais un rebelle? Que t'approuve pas tout ce qui a autour de nous c'est ton probleme mais c'est pas pasque des gens n'aiment pas ce qu'est devenus cette miserable planete qu'elle redeviendra comme avant! Que ca te dérange ou non, les gars que tu viens de tabasser ils sont comme vous, a la recherche d'un moyen pour survivre mieu que les autres, ils sont juste plus organisés c'est tout."

*Commence a me faire chier sévere ici...*

Il entreprit la tache de se curer négligament les ongles avec la lame d'un de ses couteau apparut dieu sait comment dans ses mains...

MiG, voyant que la situation s'atténuait et pour voir comment les bléssés s'en tiraient, rangea le matos et descendit par l'escalier de service pour rejoindre la salle principale du bar. Lorsqu'il ouvrit la porte qui se trouvait derrière le comtoir, il tomba sur la jeune fille au bandeau et le guerrier vêtu sombrement en pleine conversation.

"C'est qui on? Depuis quand j'ai dis que j'étais un rebelle?..."

MiG s'avança alors vers eux pour tenter de calmer le jeu et, s'adressant à eux, il dit:

"Bon!...ça va vous deux? Au fait je me présente, je m'appelle MiG. Enfin..c'est un surnom. Et vous? En tout cas on a fait front aux agents ensemble, rebelles ou pas, et c'est bien, non?
J'ai une de ces soifs moi! je vais me trouver un p'tit truc!"

Et il passa alors derrière le comptoir à la recherche de quelquechose capable d'atténuer sa soif.

(Euh...tu ne l'as pas dit? )

"On', c'est moi, Hayate, Hayabusa, du moins. Le reste, je suppose que c'est pareil, sauf toi apparement."

Anji jeta un "regard" assassin à Corbeau ( ce qui était, bien sûr, une façon de parler puisque ses yeux étaient masqués par son bandeau blanc). Elle désigna le char qui venait d'arriver au bout de la rue et répondit d'un ton féroce:

"Et c'est CA que t'apelles un moyen de survie? Ben voyons!"

Son regard se dirigea vers Hayabusa qui semblait effectivement pâle et même maladif. Une balle de plein fouet, c'était évident, ca ne devait pas faire du bien. La jeune fille garda le char dans son champ de vision, par précaution, mais sourit.

"Mon pote? Pas vraiment...J'irais m'occuper de lui dans cinq minutes. J'crois qu'on a plus vraiment le choix de nos actes après ce que t'a répondu aux gars du parti..."

Ceux-ci semblait d'ailleurs s'impatienter; sous un ordre de leur commandant lancé d'un ton sec, le char d'assaut fit feu. Anji ne bougea pas d'un poil, enclanchant son sonnar; une rafale d'onde salvatrice créa un bouclier protecteur autour du petit groupe, déviant la trajectoire du projectile qui alla atterir dans un bâtiment et y mit le feu.
La puissance du coup avait fait courber Anji mais elle se redressa comme si de rien était et observa le char d'un air de défi.

Un peu plus loin, un jeune homme observait d’un air impassible l’action qui se déroulait un peu plus bas. Sa seule présence se traduisait par le bout d’une clope s’illuminant à intervalle régulier dans la nuit constante.

Recrachant la fumée calmement tout en posent machinalement une main sur ses hanches, son regard parcourait le petit champ de bataille. Sa présence ne semblait intéresser personne et c’est temps mieux parce que personne ne l’intéressait. Même pas l’espèce de mutante qui mâchouillait tranquillement un agent dans un petit coin, un peu plus loin.

*Move your feet and to kill the enemies…*

Pensa-t-il amèrement en jettent sa clope à terre, l’écrasent avec le talon tout en changent légèrement de pose, il entendit un mec en manque grave de nicotine le dire à qui voulait bien l’entendre, mort ou pas.

Se mordant l’intérieur des joues, il reprit son cheminement vers toute cette… joyeuse équipe.
Les yeux encore un peu rougie et le teint cireux, tout en marchant de manière blaiser vers le mec avec le grand manteau noir en manque, il sortie de l’une de ses poches un paquet tout frais de cigarette et le fit aller de gauche à droite sous le nez du gars.
Les sourcils froncés, il attendit, main dans les airs et paquet de cigarette au bout, t-elle la statue de la liberté et sa torche.

N’aillant tout de même pas toute la journée, il fini pas lâcher le paquet et se retourner, s’écartent de quelque cadavre en entrant dans le bard, ma fois, fort bien farcit de corps plus ou moins mort.

Dehors, on entendit un « Putain » marquant fort bien le désarroi du jeune homme qui cherchait désespérément de l’eau…

Quand une voix retentie de dehors, un agent… Non, pire, mieux, il ne savait pas trop, celle du président…
Soupirent tout en sortie du bard, il murmura une remarque peu narquoise mais néanmoins frustrante.

« Laissez mourir vos coéquipier est le meilleur moyen de se démerder, c’est évident, voyons… Quoi de mieux que de se retrouver seule dans un merdier pareille hein? »

Marmonnant la dernière partie un peu plus fort tout en passent à côté de la fille aux yeux bandés tout en la regardent de travers, il prit le temps de se penché sur un gars mort en avant de lui, fouillant dans ses poches comme ci se fut tout à fait naturel de piller…

Trouvant miraculeusement une gourde pleine, il la prit sans se soucier du char d’assaut, il déboucha la gourde et pencha la tête en arrière pour boire à son aise, faisant un beau doigt d’honneur au passage.

Une faible brise s’éleva alors, envoyant poussière et autre chose s’envoler dans l’air.
Une page de journal passa devant l’attroupement mais pas de missile fut tiré.

Arrêtant de boire pour tousser brusquement, il se pencha pour évacuer une deuxième fois le sang qui sortait. Un poing devant la bouche et les yeux fermés avec force, il prit une aspiration douloureuse et sifflante.

Une fois cette épisode passé, il envoya le sang et la bave faire coucou aux agents étendu à terre d’un mouvement de main, se les lavant juste après avec l’eau…

Quand le char d’assaut fit feu par contre, il eut le réflexe de s’accroupir sur le sol. Remerciant intérieurement le bouclier de la dame.

« Hé bah… j’ai p’être parler trop vite… n’empêche que l’autre pisse encore le sang. »

Rajouta-t-il en se levant, observant pensivement le petit commerce qui venait de sauter, les mains méthodiquement pauser sur ses Katanas...

Akasha elle, prenait tranquillement un petit déjeuné bien mériter, déjà à quelque rue de là.

Un agent à la main, ou plutôt, ce qui en restait, elle marchait tout en arrachant des bouts de chaire, en donnant parfois au chat qui la suivait toujours.
Tous ces gens étaient un bon repère pour la nourriture fraîche, au pire même, elle pouvait en prendre un si il venait à manquer de proie comme celle-là.

Pensa-t-elle en baissant les yeux sur l’agent.

Elle attendait les cliquetis furieux des autres personnes de son espèce, semblant se déplacer rapidement d’un endroit à l’autre pour trouver de la nourriture eux aussi.

D’ailleurs, elle avait l’intention d’aller à leurs rencontres…



Ses antennes étaient revenues à la normal, une mince couche de peau avait eut vite fait de se refaire pour les cacher.

Ses yeux s’étaient éteins mais garder une allure profonde.
Le corps de son repas traînait tranquillement par terre à mesure quelle marchait en le tirant, insouciante.

Un mouvement furtif passa dans son champ d’ultrason, s’immobilisant, elle prit part à l’allure animal de la chose et n’y pensa plus quand celle-ci siffla lentement à son égard.

Répondent, elle sourie de toutes ses dents…

Corbeau qui s'était levé en voyant la jeune femme s'éloigner en trainant un fardeau qui n'était autre qu'un agent se mit a la suivre tranquillement, les mains dans les poches tandis qu'il sentait une présence assez malveillante a son égard se ballader un peu partout autour de lui et de la femme... Il haussa les épaules et se mit a avancer un peu plus vite pour rattraper celle ci

"Excusez moi... Mademoiselle? Heu, j'ai r'marqué vous étiez pas fort bavarde... Vous pourriez m'écrire vot' nom sur un tit bou d'papier? J'aimerais bien faire votre conaissance et peut être aussi celle des "truc" qui nous suivent..."

Il sortit sa main de sa poche, les doigts refermés sur un bic et un morceau de papier qu'il tendit a celle ci, prenant un air tout a fait innocent...

Akasha resta surprise. Ses yeux contemplent tant bien que mal le visage de l’homme.
Clignant des yeux à cause de l’effort qu’elle devait fournir pour avoir à peu près une vision précise, elle fini par lâcher le cadavre comme si ce fut une vulgaire poupée.

Restant ainsi quelque instant sans bouger, les bras pendant, elle fini par pendre le stylo et le bout de papier avec lenteur sans que le reste de son corps n’est effectuer d’autre mouvement.

Baissant les yeux sur le bout de papier, elle l’accota sur l’épaule du gars sans se soucier de ce qu’il pourrait penser, et commença à écrire.



Je m’appelle Akasha, j’ai 23 ans.

Je suis un produit de laboratoire et le fait seul que je vous dise ça c’est parce que le labo c’est écraser avant qu’il ne finisse à me modifier complètement l’Esprit, sinon, probablement que tu serais déjà déchiqueter à l’heure qu’il est.

Cela vous suffit-il?

Finissant d’écrire, elle lui tendit le papier mais garda la stylo.

Corbeau eut un sourrire franc pour une fois, dénué de toute froideur

"Probablement! Faut dire que la chance m'a sourrit pour une fois! Ca te dérangerais si je te pausais quelque questions? J'avoue être curieux..."

Il haussa un sourcils en attendant la réponse tandis que son regard était parfois attiré par une ombre passant a toute vitesse dans un coin de ruelle ou sur un des toits en ruine...

Faut dire qu'il avait légerement l'impression que cet endroit fourmillai d'insecte plus mystérieux les uns que les autres...

À peine un sourire passa-t-il sur ses lèvres qu’un regard coula sur le cadavre alors qu’une espèce de grosse main élastique l’attirait dans un coin plus sombre. Un petit cliquetis fendit l’air alors que, plus vite, la main partie avec le morceau de viande.

Hochant la tête affirmativement au jeune homme, son chat se pressa contre ses jambes en miaulant, hérissant ses poils à la vue de la main qui venait juste de disparaître au coin d’une rue.

D’autre sifflement semblant avide franchissait l’air avec une certaine avidité.
Les yeux d’Akasha se plissèrent alors que son sourire devenait plus grand, devenant difficile de cacher ses dents (Disons la première paire de dent, celle qui est à peu près normal ^^)

Clignant une dernière fois des yeux, elle commença à faire tournoyer le stylo entre ses doigts.

Le corbeau ricana doucement

"J'espere que c'est pas des menaces... M'enfin"

Il se mit a réfléchir sur des question a pauser

"Hm, vous êtes tous aussi dangereux que toi tu ne l'es ou alors tu es une sorte de "championne"?"

Il fit craquer chaque doigts tandis qu'une sorte de main venait d'enmener le cadavre un peu plus loins...

Reprenant le papier des mains du gars sans grande gêne, elle recommença à écrire de la même façon, souriant à sa remarque.

Comme je ne suis pas tout à fait transformé, j’ai encore quelques attitudes humaines, ce qui me donne une espèce de longueur d’avance sur les autres. Les comprenant mieux que eux, je peux dons à loisir jouer avec mes proies ou faire d’autre occupation sans grand risque.

Néanmoins… Mon côté multiple animal me permet aussi d’être une chasseuse redoutable, ce qui est en soit, très avantageux des deux côtés.

Les autres je ne le sais pas, je ne suis pas dans leurs têtes, je ne sais pas ce qu’ils ont subit, ce que je sais, c’est qu’ils m’écoutent plus ou moins… quand ils n’ont pas autant faim.

En lui redonnant le papier, elle croisa les bras, promenant son regard sur ce qui l’entourait sans cesser de sourire.

Penchant la tête part en avant, ses cheveux encadrèrent son visage avec plus d’insistance.

Corbeau se mit a lire le papier et eut un sourrire en coin en lisant la derniere remarque puis pausa une autre question en se demandant si c'était pure folie de rester aussi vulnérable...

"Penses tu être capable de ré apprendre a parler si tu restes de plus en plus souvent avec des humains? Cela pourait être utile... Avoir un ambassadeur de ta race qui pourait négocier avec d'autres humains.. A moins de pouvoir apprendre votre language a un humain? Si cela est possible je veux bien me porter volontaire..."

Il émit une petite hypothese a voix haute, ne faisant pas attention au fait qu'elle aussi pouvait entendre

"A moins de pouvoir s'injecter une dose de leurs serum assez légere pour ne pas être a un stade aussi avancer qu'eux..."

Elle s’en allait pour reprendre la papier et répondre à sa question quand, sa main s’immobilisa un instant, ses lèvres s’entrouvrent, ses yeux aillent une expression déranger, avant que, changent de trajectoire dans son mouvement, elle ne lui donna une claque derrière la tête en s’élevant légèrement sur le bout des pieds, rapide.

Avant qu’il ne fasse quoique se soit, elle lui prit le papier des mains et recula pour pouvoir écrire sur le mur, des cliquetis incompréhensible et des sifflements se répandant dans l’air.

Il m’est impossible de réapprendre à parler, malheureusement, à moins que je n’essais de faire des bruits en lange humain avec mes cliquetis d’insecte. Mais je crois cela impossible.

Se retournant, elle lui remit le papier un peu plus brusquement qu’il y a quelque minute, prenant bien soin de presque le pousser à terre. Ses traits s’aillent durcis, elle soupira de manière bruyante et massive.

Corbeau, agile comme il l'était reprit son équilibre apres un seul pas en arriere, se résignant a comprendre la jeune femme

"Ouai, t'as surement raison, si je comprends bien, tu t'énerves pasque toi tu tenais a ta vie et on te l'a imposé a toi, tu trouves surment ca stupide..."

On pouvait entendre des explosions provenant de la ruelle désigné par Anjie aux Caporal Derek qui y était partit en courant.

Soudain, une flamme d'un gros gabarie jaillit de celle ci et beaucoup de personne furent projetté à terre sous la déflagration.

Le pretre sortit du nuage de fumée avec une cigarrette en bouche.
Tout le monde le regarda et il dit :

" ... Quoi ? ... 8 agents ... "

Après avoir regarder la foule de gens qui le fixait, il entendit une voix familière et bascula son regard doucement vers sa gauche et put appercevoir le Char de son Supérieur, Monsieur Oslo.

Quand la petite caméra placé sur une partie du tank se tourna dans sa direction et que l'on pu voir l'objectif tournée, signe d'un zoom, Derek murmura :

" Pas bon ça ..."

Et il recula dans la fumée en disparaissant comme un fantôme.

Il réaparrut derriere le char, monta sur celui ci et se placa devant l'objectif de la caméra et s'exclama :

" Ca faisait longtemps ! Justement, je vous ai réservé une tombe dans mon cimetière !"

Et il arracha la caméra.

Il commença a essayer d'ouvrir la trape sur le haut du tank en tirant sur la poigné, qui était vérrouillée.

Des coups de feu résonnaient dans tout le quartier. Mask était déjà loin de toute cette agitation. La nuit était terminée, il était bien huit heures du matin. Qherv était un adversaire légèrement trop... Insignifiant pour lui. Bien que son armée était assez puissante.

*La tête qu'il a dû faire quand il a entendu ma voix. J'aurais bien aimé être dans son foutu char.*

Mask avait déjà eu une confrontation contre Oslo. C'était un soir. Mask rentrait chez lui, et un agent l'y attendait.

*Il voulait m'arrêter le con...*

Après quelques baffes dans sa gueule, l'agent avait fuit (voir Confrontation). Il avait ramené la cavalerie qui s'était fait décimée, puis ce cher Qherv Oslo avait ramené sa fraise, du haut de son beau char flambant neuf à l'époque.

"Monsieur Rockatansky. Je ne veux aucun massacre, et vous non plus."

"Qui t'a dit ça ? Et arrête de prononcer mon nom. Je m'appelle Mask, pigé ?"

"Comme vous voudrez Mask. Mais cessez tout cela. Ne sommes-nous pas des gens civilisés ?"

"Vous, peut-être, mais pas moi."

"Je n'en suis pas sûr. Je vous demande juste une petite chose, accompagnez-nous au parti, c'est juste un contrôle de routine..."

Et bla bla bla, et bla bla bla. Oslo usait visiblement de ses connaissances en négociation. Mais ça ne marchait pas contre les fellés. Mask s'était mis en colère et dans sa rage, avait réussi à virer Oslo de sa boîte de conserve et avait failli le tuer.

"Ne... Ne me tuez pas... Je..."

Bam. Un bon coup dans la tronche. Mais ça ne l'avait pas tué. Il était coriace. Mask s'en était rendu compte trop tard, et Oslo avait réussi à s'enfuir, emportant son armée d'amateurs avec lui.

*Je comprend pas pourquoi je me suis pas assuré de sa mort... Je crois que ça aurait évité bien des exécutions d'innoncents, en deux années.*

Deux années... Qherv s'en rappelait à coup sûr. On entendait toujours sa voix, là-bas, il essayait sûrement de négocier avec les quelques rebelles restants.

*Négocier... Mais quelle connerie.*

Gné bé, quel post à post
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Anji, qui n'avait pas quitté le char des "yeux" depuis que celui-ci avait fait feu une première fois, détacha enfin son "regard" de celui-ci pour observait attentivement Léon. Elle ne savait pas qui il était et, d'ailleurs, cela ne la concernait pas. Mais les habitudes du jeune homme l'intriguait grandement et lui déplaisait légèrement. D'une voix presque inaudible, elle souffla, en référence à sa question:

"Oui, surement...mais tout le monde n'est pas lâche ni égoïste, heureusement."

Du char d'assaut montait la voix d'Oslo qui criait quelques vagues négociations. La jeune fille ne l'écoutait pas. Décidant d'en finir, elle rassembla toute son énergie mentale, braqua son sonnar sur le canon du char et décocha une vague d'ondes sonores taillés en pointes. Celles-ci se heurtèrent avec violence au métal, le faisant grincer. Anji accru leur masse, fronçant les sourcils derrière son bandeau et, dans un ultime effort, bombarda le canon qui se plia avec un horrible. Il était maintenant orienté vers le ciel.

"Futile..."

Et sur ce mot pour le moins répétitif dans le language d'Anji, la jeune s'en fut par la direction qu'avait prise Hayate et Hayabusa.

[Suivant->Clan Avalanche]

Un sourire narquois naquit sur ses lèvres, d’est lors il sue que si les imbéciles dans le char d’assaut osaient tirer, ils se feraient sauter eux même.

Grattant pensivement sa tempe en promenant son regard, il tassa le corps juste devant lui du pied, comme ci il cherchait quelque chose, encore une fois.

« Naturellement, y’a pas de bouffe à porter sinon les fruits dans le bar… »

Soupirant, résigner, il se tourna tout en secouant la gourde, celle-ci émit le son de quelque goutte. Son visage neutre n’en fut que plus sombre et il lâchât l’objet devenu inutile.

« Bon… »

Repassent devant le paquet de cigarette qu’il avait balancer devant les yeux du mec, il se pencha pour le reprendre, ne faisant pas attention à l’oiseau qui arrachait tranquillement un morceau de chaire à un mec mort avec le reste de sa meute de charognard.

Sortant une gros morceau de pain légèrement rassit de l’une de ses poches, il arracha une boucher, le temps de voir si s’était encore potable. Avant de grimacer, mais sans rejeter la nourriture.

« Santé… »

Dit-il en levant son morceau d’un air peu convaincu en marchant dans une direction quelconque, vers un patté de maison, plus précisément, en ruine, évidemment.
Tout en mâchouillant méthodiquement tout ça, il reprit.

« Y’aurai pas un truck intéressent à piller dans l’coin?... »

Il s’était retourné en pausant sa question, arrachant un deuxième morceau de pain, son autre main toujours sur la poigné d’un de ses katanas…
Avant de se s’accroupir alors qu’un volé de ses foutus oiseaux ne passent à deux doigts de lui revoler dans le corps, semblant trouver son morceau de pain intéressent.

Heureusement, lui aussi trouvait les oiseaux intéressent, ce qui indique pourquoi en s’accroupissant, son katana est étrangement glisser de son fourreau pour en choper deux.
Envoyant une sorte de signe de tête à la horde alors qu’il se relevait, les oiseaux encore prient sur la lame, il regarda ses prises avec un œil critique.

« J’ai l’impression que je pourrais pas les griller… »

Murmura-t-il difficilement alors que, son morceau de pain entre les dents, il avait rapprocher la lame de son visage, avant de prendre les deux volatils par les pattes et de les délogés en les glissant lentement sur le fil.

« Faut croire… »

Observant une derrière fois le paysage… Il fronça les sourcils alors qu’un truck froid s’appuya contre son épaule, alors qu’un murmure tout aussi invitent lui dictait de pas faire le con.
Mais celui-ci s’exclama bruyamment.

« Hey! Les mecs, quand y’a un taré qui te pointe avec un M16, on est pas sensé négocier la pauvre type qui a de forte chance de se faire canarder? »

Évidemment, il n’entendait pas par négociation un dîné à la broche avec un bon vin et une agréable compagnie…

Eh…

Nan, sans lâcher ses deux belles prises de la journée, surtout les seules, il fit un salto avant, envoyant un coup de pied dans la tronche du mec avec rapidité, alors que son katana arrivait dangereusement à la hauteur de la gorge du gars.

Sauf que, il ne lui coupa pas la tête, de son regard impassible, il glissa habilement vers la gauche, coupant le bras qui portait l’arme.

« On négocie mon choux? » Demanda-t-il sarcastiquement en lui prenant le menton.

Alors que l’autre hochait de la tête positivement, juste après avoir hurler de douleurs.

« Super. »

Se tournant vers les autres, il demanda haut et fort :

« Y’A DES TRUCKS QUE VOUS VOULEZ LUI DEMANDER? »

Le gars se penchait par en avant, son moignon pissant le sang, mais Léon, toujours en regardant les autres, le relevant brusquement par le menton, encore une fois, de sa main qui avait les deux bêtes volantes.