[Europe] - De soldat politique à mercenaire

1 - Résumé

Aucuns souvenirs, un nom :Ryusaki.
Une arme :Une claymore.

Sans savoir pourquoi, Ryusaki aidait l'armée, il a aidé Berlin face aux insectes, tentant d'éviter un bain de sang, l'armée intervint, le sang coula à flots.
Envoyé à Paris, il tenta de protéger Oslo, il fut très rapidement éjecté du combat par le Caporal Derek (dieu ai son âme).

Peu à peu, il réussi à se rebeller contre le gouvernement, et à servir sa propre cause. Peut-être est-ce dû à sa capacité de régénération, qui a empêché l'appareil en lui qui l'obligé de servir le Parti...

Ryusaki rencontra un vieux militaire, qui allégea son arme, et l'entraîna au maniement des armes blanches

Depuis le Combat de Montparnasse, Ryusaki travail pour lui, en tant que mercenaire, il aida un vieil homme à se débarrasser d'un mutan, et rencontra Jill, une fille qui l'a charmé. Celle ci fut capturé, et Ryusaki extermina alors tout un camp de rebel.

Peu Après, ayant perdu les traces de Jill, il tenta de rechercher les quelques hommes ayant éliminé Oslo, voulant les remercier et voulant peut-être avoir un ami.


Il rencontra Plus tard un insecte, protégé par un rebel fou, il voulut absolument éliminer l'insecte qui sont, selon lui, la cause de ses malheurs. Le rebel esquiva ses coups et lui enfonça sa lame dans l'épaule.



2057 - Une nouvelle ère débute, la société officielle a reconstruit des villes, bien que toujours composées de bâtiments principalement en ruine, ces villes commencent à avoir une certaine classe. Comme les vieilles villes américaines.
Ryusaki, durant la remise de son coup dans l'épaule avait réfléchi, c'était l'armée qui lui avait dit que les insectes l'avaient attaqué, il ne pouvait plus croire à ce mensonge. Par contre, il gardera très longtemps, voire toujours, cette haine envers les rebels qui le rongeait

Mercenaire... Quelle vie, ça me plaît pas plus que ça en fin de compte...

J'était seul, comment dire? Sans amis, à la recherche d'un job pour pouvoir manger pendant une ou deux semaines. Il faut dire que vu la rareté de la nourriture saine, les prix ont flambés depuis un an. Enfin bon, j'arrivait en Espagne, à ce moment là, j'ignorait encore tout ce qu'l s'était passé, le chute du Parti, la société officielle. Ignorant donc que ma tête était mise a prix par certain fanatiques pour appartenance au groupe ayant éliminé Oslo.

J'arrivais dans un petit village, peu de bruits, les gens marchaient dans la rue, personne ne s'amusait ou ne jouait, les enfants étaient assis sur les trottoirs. Je n'allais pas faire la manche, et ma trésorerie était vide, il me fallait un bon moyen de gagner des sous.

- Vous!
- Moi? répondis-je
- Oui vous, je sens que vous êtes fait pour le job que je propose

...

10 minutes plus tard me voilà dans un costume de mascotte pour une épicerie internationale
* Manger chez roger !!* affiché en gros sur la pancarte qui me servait de bas-ventre.

(je n'avais jamais été aussi humilié...) ...

Le plus important c'est que je vais pouvoir manger

En une semaine, me voilà qui reçu un petit salaire, j'en profitai pour démissionner, manger quelque chose, et parti me couper les cheveux plus courts, ça devenait vraiment gênant d'avoir les cheveux longs. Un cri retentissait soudainement tandis qu'une jeune femme vint me voir.

" Vous avez l'air d'un guerrier, sauvez nous, un homme agresse les gens, il a l'air bizarre "

A peine sortit de chez le coiffeur, je regardai face à moi, un homme à la capuche s'approchait des gens et les tuait a coup d'épée. Je fonçais dessus et frappa violement vers son arme pour le faire basculer. Mon coup arriva droit au but, le type recula de plusieurs mètres entraînant la poussière en une longue traînée avec lui.

Puis il releva le visage, enleva sa capuche me regarda et esquissa un petit sourire. A son tour il courut vers moi et m'assena un rapide coup, qu'à mon tour j’esquivais.

" Ryusaki c'est ça? Pour Oslo, tu va mourir ...
- C'est bien ma veine, un fanatique, un taré ouais ... "

Il se mit a courir très rapidement autour de moi lançant des couteaux pour me blesser, je les parais facilement, puis il sauta sur un mur pour prendre de l'élan et retomba vers moi. Je me préparais à attaquer...

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Sa lame s'assouplissa, et me touche au visage. Me voilà depuis avec une belle cicatrice sur la joue. Le genre de cicatrice qui fait tomber les filles, mais aussi le genre de cicatrice qui pique à mort !!!

Je frottais ma joue, observais mon sang, puis regarda le type qui souriait, fier de lui. Il réattaqua, je parais son coup et frappa violament, ce qui le fit sauter dans les airs, je lui envoyai alors nombres de coups, qu'ils parait toujours, la vitesse et la force de l'action faisaient qu'il restait dans les airs.
Puis soudainement, mon coup frappa dans le vide, je relevais la tête, le type était dans les airs, de longues ailes noires sortaient désormais de son manteau.

" Sympa ... "

En un clignement de paupière de ma part, il se retrouva dans mon dos et voulu refrapper, je fis un grand écart ( du moins, l'écart que je pouvais faire, comme tous les hommes )et lui balaya les jambes d'un coup de pied. Je me relevais et leva mon arme, prêt à l'imobiliser totalement ...

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Mon arme au dessus de moi, le soleil tapait sur mon visage, la poussière volait.
* Tchak *

Un moment de silence, je sentais quelque chose couler, sortir de moi, je baissai les yeux et vus une lame sortir de mon bas-ventre. Le sang recouvrait la pointe de l'épée, les reflets du soleil brillaient, m'éblouisaient.
Je regardais au sol, l'homme était à terre, sa lame souple était passée derrière moi. Jamais une blessure n'avait été aussi violente sur moi.
Mes yeux s'écarquillaient, l'odeur d'hémoglobine me paniquait, sachant que cette odeur était émise par moi même.

Bientôt je crachai du sang, ma vue se brouillait. Puis je tombais, et m'écroulais au sol. Mon ennemi avait une jambe brisée et n'arrivait plus à sa relever. Il me fixait, son regard était rempli de colère, mais je ne savais même pas pourquoi je m'étais battu avec lui.

* BAM *

Un bruit sourd raisonna, la tête de l'assassin explosa à moitié contre le sol. Un bruit sourd comme celui d'un fusil à pompe.

* Trou noir *

" AAaaaaahh ma tête "
J'étais dans un lit d'hôpital. Mon épée près de moi, l'infirmière entra et m'explica qu'une jeune femme m'avait secouru et qu'elle s'était sauvée, juste après m'avoir déposé ici.
Tout ce qu'elle laissa, c'est une adresse.

Le WINCHESTER - Paris

La route de ce petit village jusqu'a Paris ne me prit que deux petites journée. Ma moto toujours fidèle à son poste.

Une fois à Paris, je me renseignais, je devait trouver ce bar, pourquoi m'avait-on attaqué ? je devais en savoir plus.

Le Winchester - Paris, me voilà devant la porte d'entrée. Je tournai la poignet, ouvris la porte, rentrai. C'était un bar à première vu très mal fréquenté. J'étais en jeans et T-shirt, au milieu de gros tatoués habillés en cuir, style motar, d'autres en style skateur défoncés. Enfin, c'était le genre d'endroit peu fréquentable pour des gosses, bien que la majeure partie des clients n'avaient pas plus de 20 ans.

" Je veux voir Jill !!! "

Tout le monde se retourna vers moi. J'étais mort, selon eux.
C'est vrai, qui irait au beau milieu d'un groupe de drogué baraqué en réclamant quelque chose? Pas grand monde...

Trois grand types avancèrent vers moi.

" Jill se repose de son voyage, elle ne veut voir personne
- Je suis une exeption, répondis-je. "

Cette remarque l'énerva apparament. C'est aussi peut-être cette remarque qui fit partir son poing en direction de ma tête.

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Me voilà projetté vers le bar, arrachant les bouteilles et les verres du comptoir. Je me relevai

" Ok, come dirait l'autre, vous voulez pas la jouer soft, je suis pas contrariant, vous voulez la jouer hard, on va la jouer hard ... "

Je me relevai, ces c** sortaient des armes en tout genre, uzis, sabres, fusils, marteaux. Il y en avait pour tous les goûts. Je levais les yeux, sorti mon canon scié dans la main gauche, puis ma claymore dans la main droite.

Un type au sabre fonça sur moi, je bougeait à peine et parvint a l'esquiver, puis me retournant vif comme l'éclair, je lui envoyai une rasade de plomb dans le corps. Le sang gicla contre le mur, deux clients furent aspergés. S'en suivirent des cris de panique, puis la fuite de tous les clients, mis à part les quelques type qui voulaient en finir avec la vie.

je lancais ma claymore dans le corps de l'un d'eux, sautai vers ce dernier, je tirai une cartouche dans un autre type. je recupère mon arme, je recharge. Quatre types face à moi chargèrent leur arme et firent feu.4 chargeur de 30 balles qui ricochèrent sur le bar dernière lequel j'eu le temps de sauter.

Je me relevais, plus aucun bruit, le ricochement des balles en avait finit de ces types.

" Bravo tu n'a pas changé "

C'était elle, Jill, que faisait-elle ici. Comme à son habitude, son style vestimentaire se limitait a un mini short en cuir noir et un t-shirt tellement cour qu'on apercevait le dessus et le dessous de sa poitrine sans problème.

" Jill ..."

Elle sourait, me regardait.

" Tu n'a vraiment pas changé "

Elle sourait toujours, un petit ricanement, suivit d'un rire très bruyant.

" Sais-tu pourquoi je t'ai fais venir ici? pourquoi je ne t'ai pas tué ? "

Comment ?

" Je ne suis pas humaine, j'étais sur la station, je suis devenu chef de ces hommes, non pas en gagnant leur respect, mais en tuant tous ceux qui ont refusé de s'incliner. J'ai tenté plusieurs fois de mourir, mais le démon qui est en moi m'en empêche à chaque fois, tue moi s'il te plaît, je...nn.ggghh. "

Des ailes poussèrent dans son dos, ses yeux devinrent vert émeraude. Elle sauta sur moi me griffant d'un coup le visage.

Je sortis mon fusils visant sa tête. Puis elle sauta partout dans l'établissement avec une très grande vitesse. Elle partis alors à l'exterieur, je sortais l'arme à la main pret à faire feu. Bon sang, je viens retrouver la seule personne sur qui je pouvais compter, et je me retrouve à devoir la tuer. Monde de merde!

L'arme chargée, l'ennemis dans les airs face à moi. Je fais feu...

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