[Europe :: Paris ] Un bar réputé.

Hayabusa était à sa place habituel dans l'un des bars les plus prestigieux de la capitale. Sa prime obtenu suite à son combat contre Qherv Oslo lui permettait les plus grandes folies, comme l'achat d'une magnifique maison, des vêtements de luxe et une place dans la nouvelle jet-set, composée des plus grands industriels du monde qui fournissent en énergies, en nourritures et en boissons. Il buvait tranquillement son whisky avec sa petite amie depuis bientôt un an maintenant . C'était une européenne, brune au visage parfait, fille d'un des plus grands distributeurs de sodas au monde. Il menait une vie très agréable, et envisagèrent même un mariage, malgré l'état du nouveau monde. Il devait ça en partie à la reconstruction organisée par les trois nouveaux dirigeants de la société officielle.

Des gens étaient en train de s'échanger des armes contre de l'argent dans un coin du bar. C'était fréquent, ce genre d'échange. Les rebelles venaient ici car la police ne cherche pas dans ces lieux .

Deux autres hommes arrivèrent et s'approchèrent des autres. Le jeune Hayabusa remarqua leurs armes cachées dans leurs poches arrières . Les trafiquants d'armes les repoussèrent en leur disant de dégager, mais les types armés insistèrent, ils semblaient surent d'eux. L'un des trafiquants leva à peine son arme que son opposant sorti la sienne et lui tira dessus. Le corps s'effondra et une fusillade avait prit place dans ce bar, qui était un havre de paix pour le jeune blondinet .

Les trafiquants étaient tous morts, les clients commençaient à se relever mais au même moment un type au visage cagoulé entra et assassina dans le dos les 2 types armés, puis il s'en alla en courant . Hayabusa s'approcha des cadavres doucement et vit la plaque de la police dans la poche d'un des mecs armés. Ils venaient simplement empêchés le trafic d'armes, et aujourd'hui ils ont perdu la vie.

La guerre avec les rebelles est donc loin d'être finie, et ce jour-ci, le jeune Hayabusa, qui était devenu neutre, retourna sa veste, et détestait de plus en plus les rebelles ...

Mais, alors que le responsable appelait la police, des coup sde feu retentirent dehors, des coups de feu qui venaient de l'avenue, l'une des plus fréquentées de Paris. Mais que se passait-il ?

(A vous de poster )

Ryusaki avait tout perdu en peu de temps, son passé, la fille qui a fait chavirer son coeur, il a même perdu son fusil au jeu.

Depuis plusieurs mois, L'ancien militaire était devenu mercenaire, il avait arreté sa quête de souvenirs perdus, il s'était totalement habitué au monde qui l'entourait.
Il allait, dès qu'une mission fut finie, au bar, pour fêter sa victoire et pour obtenir de nouveaux contrats. Très récament, il venait d'éliminer un dangereux bandit insecte pour le compte de la societé officielle. Il était aprécié des gens, ayant été nommé sur la liste de ceux qui ont vaincu le terrible Oslo, mais il savait que la verité était differente ...

Aujourd'hui, jour de fête, il allait dans un bar fêter sa nouvelle prime, mais à l'autre bout du boulevard, il aperçu un homme sortir d'un bar, et des gens se tirant dessus dans la rue, c'était peu fréquent par ici.

" Qu'est ce que ? "

Ryusaki enfila sa capuche, tapota le pommeau de sa claymore, la dégainai, et avanca voir ce qu'il se passait ...

L'hélicoptère se posa sur le toit de la résidence secondaire d'Alfonse Kadeer, le grand manitou du trafic d'arme du Sahara. Mask en était le bras-droit, bien qu'il était connu pour être celui qui avait permis au business de l'Assemblée du Désert de fleurir et donc pour en être le véritable chef.

(Voir L'Odyssée de Mask.)

– Paris, Paris... Pourquoi m'obliges-tu à me cacher ?

C'est vrai que Mask n'était pas le bienvenue dans la capitale française. Comme dans toutes les capitales de la Société officielle, d'ailleurs.

Il sortit de l'hélicoptère, accompagné de deux gardes du corps.

Vêtu d'un costumes noir sans cravate, affublé d'un casque de hockey sans protection à l'avant et d'un masque à gaz, on pourrait le trouver un peu ridicule si on ne savait pas qui il était vraiment. Car le passé de Mask le rendait imposant, compensant même sa taille relativement modeste (1 mètre 76).

Il qutta la résidence peu après son arrivée.

– Je veux voir Paris, ça presse.

Il prit place dans un hummer noir métallisé. La destination était : "Chez François", un restaurant typiquement français, situé au plus haut de la tour Eiffel (qui ne mesurait alors plus que 180 mètres, s'étant cassée en deux à cause du choc de l'explosion nucléaire).

La ville était effervescente. Il y avait beaucoup de gens sur les trottoirs, beaucoup de voitures dans la rue. Même à 20 heures du soir.

L'une de ces voitures était un véhicule de police dont le conducteur était bien renseigné : il savait qu'un hummer noir métallisé allait passer sur les Champs-Elysées, et qu'il y aurait à l'intérieur le bras-droit d'un des caïds du trafic d'armes doublé d'un des rebelles recherchés par la police mondiale, celui qui fait partie de "la promotion Montparnasse 2056".

Le policier rumina :

– On t'a, Mask.

Mask, lui, souffla à son chauffeur :

– Rajoute cinquante petits kilomètres/heures je te prie. Et fais gaffe aux piétons.

La course-poursuite commença. Le crissement du pneu du hummer laissa entendre au policier qu'il était repéré. Alors il accéléra lui aussi.

Mask sortit un revolver, brisa la vitre de sa voiture et commença à arroser son assaillant de balles 9 millimètres. L'orchestre attira la curiosité d'autres policiers qui vinrent en renfort.

Le conducteur du hummer fut alors touché à la tête par une balle policière. Il mourut, laissant Mask orphelin de son chauffeur. La voiture s'écrasa sur un mur.

Il éclata la portière d'un coup de pied et sortit du véhicule. Il entra précipitamment dans une boulangerie dans un concert de cris de clients.

– Foutez le camp de là au lieu de brailler !

Les civils suivirent son conseil, le laissant seul.

Il sauta derrière le comptoir et attendit la flicaille.

Il ne patienta pas longtemps car, en quelques secondes, l'avenue était envahie de voitures de police. A travers la vitrine, il commença à tirer les poulets comme des dindes.

Le tir aux pigeons dura quelques minutes, le temps que les flics se replient. Mask en profita pour s'enfuir dans l'arrière-boutique.

Il sortit par la porte de derrière et chercha un autre bâtiment pour s'y cacher. Il en trouva un.

– Un bar... Pourquoi pas ?

Il courut vers la porte, mais au moment où il posa sa main sur la poignée, elle s'ouvrit. Et il tomba nez à nez avec une tête familière.

– Blondinet ?

J'avançai prudemment, un homme courait rapidement, tentant d'échapper aux forces de l'ordre. Il courait dans tous les sens, la police tirait mais n'arrivait pas à l'atteindre. Il commença alors a partir en ligne droite, vers moi, et me frôla.

La police le poursuivait, l'un d'entre eux me demanda pourquoi je ne l'avais pas arrête.

" - Je ne travail que pour moi désormais, seul l'argent pourra me faire poursuivre cet homme. D'autant que je ne sais même pas ce qu'il a fait. Et puis ... aujourd'hui est un jour de fête pour moi, je ne veux vraiment pas me battre.


- Il est tout seul, on ne parle même plus de se battre, c'est trop simple

- Pourquoi n'arrivez vous pas a l'avoir alors? Sauf cas de danger pour moi, je ne me battrai pas, et pour information, ce type n'est pas seul, examinez bien autour de vous ... "

En effet, il suffisait de regarder autour de soit pour remarquer que nombre de gens dans la rue ralentissaient les homme en bleu. Et puis, des guetteurs étaient sur les toits. Soit plusieurs opérations louches se déroulaient ici même, soit cet assassina signifiait bien plus que ce qu'il paraissait ...

Mask fut content de retrouver une vieille connaissance. Un an après, il se rappelait de tout. Ce type-là, blondin, avait aidé à tuer Oslo.

Inutile d'aller dans le bar. En jetant un regard supersonique dans l'intérieur du bar, Mask remarqua que l'architecture ne permettait pas de sortir par les fenêtres parce qu'elles ne pouvaient pas être ouvertes. De plus, il vit au loin que la pièce des toilettes était éclairée par une lumière artificielle et qu'il n'y avait donc pas de fenêtre. Enfin, il ne remarqua aucune porte qui permettrait de sortir du bar d'une autre façon qu'en prenant la porte principale.

Il s'éloigna du bar et d'Hayabusa en lui faisant un signe de main, longea quelques secondes les murs de la rue, observant avec amusement le foutoir qu'il y avait dans l'avenue (les policiers étaient tellement agités, pullulaient tellement en le cherchant partout autour d'eux, qu'il n'était même pas repéré). Il rentra dans une voiture de police et s'installa à l'arrière.

Il retira alors son masque à gaz, se coiffa, boutonna sa chemise blanche, enleva sa veste noire et sortit du véhicule.

Alors, il parcourut tranquillement l'avenue au milieu des flics. Personne n'y faisait attention.

Quelquefois, un des hommes de la Société officielle lui disait :

– Qu'est-ce que vous foutez là, vous ?! Dégagez, vous voulez vous faire tuer ?
– Excusez-moi, que se passe-t-il ?
– Une ordure de mafieux est dans le coin.
– Oh !

Après une minute de promenade, il reçut un coup de fil.

– Allô ?
– *Mask ? Tu es toujours au milieu du poulailler ?*
– Exact.
– *Regarde sur les toits.*

Il y avait des porte-flingue de l'Assemblée du Désert qui guettaient les environs, un fusil à lunette à la main.

– Parfait. A propos, je rentrerais tard, ce soir. J'ai un rendez-vous avec un ami.
– *Tu es en vacances, tu fais ce que tu veux.*
– Ciao.

Il raccrocha. Une main se posa alors sur son épaule. C'était un flic.

– Vos papiers.

La seconde d'après, il était assommé, et Mask, déjà loin. En courant, il heurta un autre visage familier. Mais pas le temps de faire causette.

Lorsqu'il fut hors du siège, il appela le chef de l'unité en charge des snipers postés sur le toit.

– Je suis en-dehors de la zone. Vous pouvez ouvrir le feu si ça vous fait plaisir.

Les policiers attrapèrent Hayabusa et le chargea dans une voiture de police. Un infirmier qui était sur place a constaté que les blessures étaient superficielles et qu'il pouvait reprendre son chemin, sans point de suture. Il rentra dans le bar, prit sa fiancée tendrement par le bras et s'en alla à nouveau .

Il avait remarqué Mask quitter les lieux durant la recherche des policiers, il l'avait même vu monté dans la voiture pour se changer. Il sourit et fredonna :

"Dans quel pétrin tu t'es encore fourré Mask ?! En tout cas, je te retrouve bien là, tu es sacrément doué..."

Sa petite amie lui demanda de répéter, mais le blondinet répondit qu'il divaguait. Il appela un taxi, contre la permission de la police, pour pouvoir le ramener lui et sa tendre dans leur demeure.

Environ quinze minutes après, quand les voitures de polices commençaient à quitter la rue, la voiture jaune, assez délabrée, arriva enfin. Ce qui surprenait dès l'entrée dans le véhicule, c'était la tenue classe du conducteur, costard, cravates, chaussures de cuirs et lunettes de soleil.

Peu de temps après s'être éloigné de la ville, le conducteur se moucha, et en le rangeant, il prit discrètement un revolver qui était dans sa poche. Les deux tourtereaux ne remarquaient rien. Il s'arrête sur le bas côté en disant :

"Je dois passer un coup de fil, mon kit main libre ne marche plus alors je m'arrête, navré."

Au même moment où Hayabusa détourna son regard, le pilote se retourna et tira, mais le manqua de peu. Il fit un second tir de réflexe et le toucha cette fois à l'épaule. Le jeune homme puisa dans les forces qui lui restaient et il donna un violent coup de poings sur la joue de l'homme au costume. Il monta au siège passager rapidement et arracha le pistolet des mains de son agresseur, en plaquant son visage contre la vitre.

"Pour qui travailles pauvre enflure ?"

"-Je, je... ça je ne peux pas te le dire !"

Il le tapa violemment .

"Tu es sur ?"

"-C'est un rebelle, ou plutôt une rebelle, elle s'appelle Vanessa Joffrin..." (voir Montparnasse, ou la mort de Qherv Oslo )

Sous le choc, Hayabusa relâcha sa garde et légèrement le tueur, qui en profita pour quitter la voiture. Le jeune reprit ses esprits, et tira une balle dans le dos de son agresseur, qui s'écroula au sol.

Il regarda sa blessure et constata que la balle était à peine rentrée, il pouvait la retirer lui même. La blessure n'était pas importante, mais tout de même, on chercher à le tuer.

Sa fiancée pleurait, Hayabusa la serra dans ses bras en lui disant qu'elle ne devait pas pleurer, qu'elle devait être forte, et qu'il avait beaucoup besoin d'elle pour être réconforter.

Ils rentrèrent enfin chez eux, et à peine la nouvelle apprit, le beau-père d'Hayabusa engagea une dizaine de gardiens pour veiller à la sécurité du petit couple.

On dirait bien que ça ne sera pas jour de fête aujourd'hui ... Je pensais que sans Oslo, tout le monde serait gentil et beau... ET BIEN NON ...

A peine rentré dans mon bar favori j'entendis la foule hurler, les gens couraient, rentraient dans les premiers bâtiments qu'ils voyaient. Au contraire, je sortis voir ce qui provoquait un tel chahut.
A peine sortit, un éclair frappa le sol, et la pluie tomba. Une voix venant du ciel annonça un message flou. Puis des types sortaient des égouts.

Ça me fait penser à un scénario de film, je ne devais pas en être le héros, mais si je pouvais faire parti des grands rôle, ça serait cool.
Deux zombies arrivaient sur moi en sautant. Aucune difficulté a les repousser.
Ce qui m'inquiétait réellement, c'est que la plupart d'entre eux ne couraient pas comme des sauvages. Ils regardaient autour d'eux, comme s'ils analysaient la situation...

Les zombies sont débiles, ils ne peuvent pas réfléchir, c'est impossible.

Une horde de zombies couraient vers moi, étant immortels, je n'aurais pas pus m'en débarrasser, je courais le plus vite possible vers ma moto. Lorsque j'arrivais, un zombie était monté dessus et avait détruit le moteur. Je regardais autour de moi, et constata que ces mort-vivants s'attaquaient aux véhicules avant de s'attaquer aux humains.

" Et merde ! "

Je courais à nouveau à la recherche d'un abris, direction : le bar le plus proche. Tous les bars ont une cave qui ferme... c'est ma seule échappatoire ...

Hayate déambulait dans les rues de Paris, remarquant ici et là les affiches de son ami la star du Red Bull. Il se dit que son ami avait bien changé s’il avait accepté un contrat publicitaire, et surtout qu’avait t-il fait pour qu’on lui propose ?

Mais toutes ces questions allaient surement bientôt être répondu, il entendit des coups de feu et d’autres bruits de bagarres et fusillades Il a suffit qu’il traverse quelques rues et aperçu l’épicentre de toute cette agitation : un bar, il semblait y avoir eu une tuerie et maintenant de nombreux cadavres animés prenaient place sur le sol de la capitale. Soudain il vit un couple entré dans un taxi, il ne réagit pas instantanément mais il cru voir Hayabusa accompagné par une jolie fille, il cria son nom mais l’homme entra dans la voiture jaune et le véhicule fonça hors de ce combat. Le saccage que produisaient les zombies était au-dessus de sa voix, son ami venait de s’échapper et ils furent une fois de plus séparés.

Une voix dans son dos le fit tout de suite revenir à la réalité, un policier lui demanda ses papiers. Son épée n’était pas grande et il put facilement la cacher dans son long manteau noir tandis que son bouclier n’était pas un bouclier traditionnelle en acier, c’était plutôt un champ de force léger qu’il pouvait déployer depuis son avant bras, encore là discrétion assuré.

Hayate se tut laissant le policier venir près de lui et quand il fut à bonne distance il trancha sa gorge avec une effroyable précision et d'une rapidité extraordinaire. Il fut lui-même surpris par son geste mais il se souvint de ses facultés surhumaines qu’il avait développées, le fait de revoir son ami les as surmement reveillé. Le policier s’effondra sur le sol froid de cette nuit et unfrisson parcouru l’échine d’Hayate, pourquoi l’avait-il tué, parce qu’il n’avait pas de papier? C’est absurde, il se sentait changé, comme si tuer faisait maintenant parti de lui, il sentait avoir perdu son âme.

L’eau ruisselait sur son manteau et il se mit à courir sans savoir trop où aller, il coupa quelques zombies avant de s’apercevoir qu’ils étaient des durs à cuire, il préféra donc se cacher et attendre quelque chose, il ne savait pas quoi mais il attendait…

Plus les minutes passaient, plus les zombies se multipliaient. Pullulaient plus encore.

Lorsque la nuit tomba, ils étaient toujours là.

La police avait déclaré l'état d'alerte, alors les gens s'étaient tous barricadés chez eux, en attendant l'armée. Seulement, les forces étaient concentrés à Washington où les insectes avaient mené un assaut contre la maison blanche qui abritait alors Devi Tabjile. Malheureusement pour eux, le scientifique était déjà loin, à Tokyo, ayant fuit en jet.

Il fallait attendre demain pour que Paris accueille des renforts. En attendant, la police essayait tant bien que mal de les retenir. Sans succès.

Vers une heure du matin, la police se replia. Il ne restait alors plus que les morts-vivants dans les rues. L'armée de l'homme mystérieux au crâne d'acier.

Quelques questions se posaient alors :

Qui était cet homme ? Pourquoi l'armée de zombie avait-elle intervenue juste après l'intervention de la police contre Mask ? Qu'est-ce qui va advenir à Hayate et Ryusaki, toujours présent dans le champ de bataille qui n'a plus d'issue possibe ? Et parallèlement, que va-t-il se passer à Washington ?

Maître du jeu : Quête terminée. Les deux prochains thèmes viennent d'être annoncés ; à vous de les faire vivre.