[Europe :: France] [Premier boss en cours !] Chasseur chassé

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Une vague de colère et d’agacement passa dans les membres d’Akasha quand le blond manqua de couper l’insecte qu’elle tentait de sortir de cette bataille dans laquelle elle s’était lancée sans trop réfléchir. Ça lui apprendra. Cependant elle n’allait pas laisser cette crapule de blondinet détruire ses plans. Aussi quand Manuki opposa une résistance plutôt farouche, elle s’en trouva satisfaite, mais l’envie de taper se chien ne partie pas. Elle sentait l’impression de grognement dans sa gorge, bien qu’aucun son ne pouvait y sortir. Ses mâchoires s’ouvrirent à peine, mais assez pour démontrer les lignes qui fendaient maintenant ses joues. La vision était grotesque, mais sans doute pas très rassurante, en tout cas, pour quelqu’un de normal…

Cependant, l’insecte femelle n’alla pas près du vert. Elle avait hâte de partir de là. Et tout ce sport commençait à lui creusée l’estomac… et puis soudain, Manuki lança le blond. Finalement malgré ses blessures, il gardait une plutôt bonne maîtrise de sa situation. Cette pensée lui rappela que, malgré tout le temps qu’avait duré le sien, elle n’avait encore qu’une égratignure. Sans doute un pur hasard. Quoiqu’il en soit. Elle envoya un cliquetis d’empressement, son radar, marchant au maximum, captant quelque chose qui ne semblait pas de bon augure pour personne. Un stresse inexplicable la pris sans demander quoique ce soit, vandalisant son intérieur et remuant son instinct fuyard… qu’elle ne se connaissait pas jusqu’alors.

Elle avait remarqué dans la chute d’Hayabusa, que dans un tintement sinistre, l’épée de celui-ci avait tombée au sol. La poussière que le mur avait soulevée commençait à redescendre lentement, alors que l’épée venait d’en soulever une autre couche, bien que plutôt minime comparé à la première. Certes. Akasha ne s’attarda pas sur la question et se dirigea prestement vers Manuki, décider à quitter les lieux le plus rapidement possibles… Entre l’odeur de sang qui lui montait à la tête et le stresse, elle fini par arriver en moins de deux. Il était salement amoché quand même, cependant l’insecte n’y prêta pas trop attention, pensant juste que ça les ralentirait un peu.

Alors que tout ça se passait, la poussière retombait finalement, remettant un peu de visibilité à tout se paysage.
Akasha, sur les nerfs, semblaient être prête à sursauter à n’importe qu’elle signe hostile envers sa personne… ou celle de Manuki.

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"Ne bougez plus !! Au sol, immédiatement !"

Criait un suicidaire agent précédé de deux underling pas très enjoués.

C'est vrai, quelle connerie de s'aventurer dans les égoûts alors que c'était la deuxième dimension de transport la plus importante de Paris.

En quinze secondes, Mask eut le temps de briser le cou du premier agent, de fracasser le crâne du seconde et de casser la jambe du troisième qui tomba à l'eau et se noya.

Puis Mask alla se réfugier dans un conduit plongé dans l'obscurité qui pourrait lui permettre de s'enfuir.

Edit HRP : Mais vous allez me lâcher, saloperie !

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Detlev, qui n'avait pas très bien suivit tout les derniers mouvements remarqua cependant l'arriver de personnes plus connues. Mask très rapide, s'occupa de trois en quelque secondes. Elle papillonna des paupières pratiquement impressionner. Un frisson d'horreur lui parcourut pourtant l'échine - quel sort lui aurait-il réserver s'il aurait su qu'elle était des leurs? Elle n'eut pas le loisir de songer à cela bien longtemps d'autres approchait. Ils n'avaient aucunement vu Mask abbatre les hommes, ils allaient en poser de ces questions... D'un mouvement sec - désespéré, elle ramassa ses longs cheveux et les fourra dans son gilet. D'un coup d'oeil, ca pouvait passé... Mais si on portait attention... Malheureusement elle n'avait guère le temps de s'en faire avec ca. Elle vit les insectes allez se cacher. Puis, un grand brun se planta devant elle. Son visage lui disait quelque chose, mais elle n'avait aucune mémoire. Elle était plutôt lâche en ce qui était a apprendre les noms etc... Pourtant, lui semblait porter une grande attention à ce qu'elle jugeait être des détails.

-Detlev. Qu'est-ce que c'est que ce foutoir?

La voix de l'homme était grave, autoritaire, froide... Elle ne laissait aucune place à l'empathie, elle grimaca. C'était bien pour ca qu'ils étaient impopulaire, les gens ne savaient plus parler, ils voulaient juste dicter leurs lois, par n'importe quel moyen. Heureusement, l'homme prit la grimace de dégoût de Detlev pour l'expression de sa douleur. Il n'était pas sans remarquer qu'elle avait les côtes scarifiés et le mollet entaillé. D'ailleurs ce dernier commencait à picoter, signe que la douleur se montrerait peut-être bientot. Elle releva la tête, impassible.

-Detlev...

-Oui... Eeh...

Elle jeta un regard derrière elle, ils s'étaient tous mit à l'abris. Bien qu'elle fut contre les rebelles, elle n'allait pas tuer des personnes qui ne lui avait rien fait et qui de surcroit se battait bien. Puis, ses yeux effleurèrent la vision des corps de ses semblables, ensanglantés. Elle se surprise a se dire qu'ils l'avaient bien chercher... Elle détestait l'impolitesse, et s'en était toute une.

-DETLEV!

-Rien... Je ne faisais que passer... Question de routine. Ils se sont tous enfuis. Ils m'ont scarifier, mais ce n'est pas bien grave.. Moi, je vais me reposer, les lieux sont sécure, ils n'étaient que deux, et ils sont partis à la course par là. Dit-elle en pointant une direction complètement contraire d'où les agents venait, et d'où ils s'étaient vraiment réfugiez. J'en ai sérieusement blesser un, vous allez les retrouver, ils n'iront pas bien loin.

L'homme semblait perplexe... Mais Detlev continua à débiter des tissus de mensonges de plus en plus convaincant, elle avait un don pour la paroles et finalement, les agents prirent la direction qu'elle leur avait indiquer et la laissèrent là. Pour ca, elle avait du raconter qu'elle connaissait de proche habitant qui la soignerait et que la justice de la mort de leur confrère comptait plus que tout, - qu'ils devaient être venger absolument.
Lorsqu'ils furent disparut à son champ de vision, elle secoua la tête. Quel bande de moutons imbéciles, c'était pittoyable. Ils allaient falloir ré-organiser l'Armée Politique sans quoi ce serait la guerre pour toujours... Mais de toute facon, ca sera toujours la guerre, c'est dans la nature de l'humain, et encore plus maintenant, puisque la nature était modifié à jamais, intoxiqué, dépravé...
D'un pas lent, elle se dirigea vers le four. Elle s'arrêta devant, avait-elle droit de les rejoindres? N'allaient-ils pas la massacrer? Elle mit un doigt sur ses lèvres, pensive... Mais après tout, elle leur avait sauver la mise... Leur cachète n'aura pas rester secrète bien longtemps.. Elle haussa les épaules. Le pire qui pouvait arriver, c'était la mort! Et entre ici et plus tard.. Il n'y avait pas grande différence avec son état, et surtout, avec l'état du monde.
Elle se glissa dans le sous-sol et repéra des yeux qui la regardait, hargneux ou apeurés, elle ne sut pas. Elle resta droite, stoïque, et dit simplement (pour éviter de se faire tuer sur-le-champ)

-Ca va, ils sont partis... Et ils ne reviendront pas de si tôt... Enfin.. Ils ne devraient pas...

Elle resta sans bouger, et, surprenement, une goutte de sueur naissa sur son front et coula le long de son visage, lèchant sa peau, la laissant salée... Qu'allaient-ils lui faire...? Ils allaient deviner qu'elle ne les avient pas tous massacré.. Et un rebelle qui marchande, c'était plutot rare. Elle s'en remit à l'espoir et commenca à songer au circonsance dans lesquels il lui serait plus agréables de mourir.

Elle l’avait suivit, laisser trouver une cachette. Maintenant dans le noir, c’était à son tour de faire quelque chose. Son stresse était un peu moins grande puisque cachée, mais elle gardait une certaine tension au niveau des muscles. L’insecte avait remarquer que son collègue masculin avait une flèche planter derrière le genoux. Ça ne devait pas être ce qu’il y avait de plus confortable au monde et malgré qu’ils fusent dans le noir, elle en avait profité pour s’approcher de lui. Des cliquetis plutôt faible, pour expliquer son intention, avaient retentie dans la cachette. Elle s’assit à côté de lui, bien que plus par en avant et passant une jambe sous la sienne, blesser, pour ne pas manquer d’espace pour prendre ce qui restait de la hampe. Soit. Une main sur la jambe verte et l’autre qui glissait sous la cuisse pour ne pas arriver trop brusquement sur la blessure, elle fini par empoigner le moins rudement possible ce qui semblait être le reste de la flèche et, après trois petits cliquetis distincts, tira d’un coup.

Inutile de le dire. Du sang coula. Il ne faisait pas claire, aussi ne remarqua-t-elle pas que le liquide était plus foncer que la normale. Mais quoiqu’il en soit. Elle arracha un morceau de son jean-pas-jean et serra fermement le tissu avant la blessure pour empêcher plus de saignement. La voilà qui semblait avoir un peu plus de chaire mise à nue, mais qu’est-ce que ça pouvait bien faire, dans ce nouveau monde et surtout, dans son état? Pas grand-chose.

Soit. Elle ne changea pas de position, malgré que celle-ci aurait put paraître inusité du la situation. Soit, ses mains étaient venues se poser au sol, quittant la peau de l’insecte qui, malgré tout, était chaude… pas comme cette endroit, cette cave… Pff. Akasha regarda un peu les lieux, le bout de flèche toujours dans la main… enfin regarda. Son attention était plutôt concentrer sur l’être qu’elle venait d’aider à souffrir un peu moins… en tout cas elle espérait que c’était ça qui ce produisait en cet instant. Sa jambe était toujours la sienne et bien que son être faisait un angle droit avec celui de la mante, elle avait l’impression d’être plus proche. Peut être un effet de la noirceur.

Soit…

Ses réflexions s’arrêtèrent là. Quelqu’un venait d’ouvrir la trappe… et se quelqu’un, il-elle sentait le militaire. Aussi rapidement la femme insecte se releva, genre une vieille madame qui protège ses paparmans. En tant que détentrice d’une égratignure, elle se sentait tout à fait d’attaque à écraser la gueule de n’importe qui sous ses multiples mâchoires. Mâchouiller un truc… ou encore envoyer au tapis à l’aide des techniques que sont corps semblaient manier sans qu’elle ne sache vraiment ce qu’elle fait.
Qu’importe…

L’arrivante rassurant avant même qu’elle n’est put lui sauter dessus, que la menace devait être loin… Elle ne cliqueta pas, mais semblait sauter à la moindre intonation douteuse dans la voix, les gestes de la fille. Par réflexe son corps c’était posé entre Detlev et le verdâtre.
La pointe de la flèche toujours dans sa main, ce qui ferait une certaine arme, semblait attendre une prochaine chaire à mordre.

Hayate décocha, la flèche fendit l'air, Hayate pria pour qu'elle atteigne sa cible. Et il entendit sa flèche se planter dans quelque chose, mais il n'eu pas le temps de se rejouir. Un bruit effrayant fit trembler le sol puis tout le monde s'enfuya comme si c'était la peste qui s'abbatait. Ont avaient tous compris de qui il s'agissait. Un régiment de l'armée politique déboulait sur l'avenue.

*Il faut que je me casse...*

Il décida alors de rammasser son sabre sous la jeep puis il sauta dans la voiture. Il chercha la clef et enfin il essaya de la démarrer.

"Allez démarre bagnole de merd*"

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Mask s'était immédiatement fait grillé alors qu'il était dans les conduits.

D'autres imbéciles d'agents avaient trouvé nécessaire de perdre leur vie inutilement.

En deux temps et trois mouvements, tous moururent dans des conditions peu recommandables.

*Et de huit... Le compte est bon.*

Finalement, Mask courut le long des égoûts et ressortit d'une bouche un peu plus loin qui menait dans une autre ruelle.

HRP : Ouais là ça commence à me remplir le sanctuaire ce petit jeu...

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Mask regarda à nouveau le haut du bâtiment et remarqua qu'un des agents venait d'installer un dispositif de sniping. Il oublia alors bien vite l'insecte géant, ce type allait tirer sur lui !

*Merde, je suis sûr qu'Oslo est là pour moi...*

"Désolé mon grand, j'ai une affaire à régler."

Dit-il au gros cornu. Juste après, la balle fut tirée mais s'enfonca finalement dans le bitume car Mask s'était déjà éclipsé furtivement. Quelques secondes plus tard, il escalada le mur d'un des bâtiments voisin à celui ou Qherv Oslo était perché. Arrivé à la fenêtre du troisième étage, il l'explosa pour y entrer et emprunta les escaliers menant au toit. Une fois en haut, il sauta pour atterrir sur le toit d'un autre immeuble et continua sa petite ascension. Quand il arriva à vue évidente d'Oslo et de ses hommes, il prit la précaution de sortir son fusil et d'avancer plus lentement et donc plus sûrement.

*Cette fois, je vais te tuer une bonne fois pour toutes, Qherv. Et je ne suis pas le seul qui veuille ta mort.*

Rien que pour se défouler, il tira une balle dont la cible était le sniper de tout à l'heure.

H.-R.P. : Oups, désolé Cyprien.

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