[Europe::Paris] Une nuit difficile

Hayate retira sa lame d'un militaire, le coprs sans vie tomba, c'était le dernier. Hayate fut très content de son combat au coté de son nouvel ami, il combattait à merveille.

Il le vit faire un signe de tête, il comprit son plan quand il entra dans l'hélicoptère. Là hayate se demanda si se guerrier savait piloter un tel engin, il l'esperait vraiment!

hayate fit quelques pas vers l'hélicoptère quand il apercu un cadavre bouger non loin de leur position. En le fixa il en vit plein d'autres, des zombies se reveillant.

*Merde moi qui commence à fatigué, j'aurais voulut me reposer*

Hayate sauta dans l'apereil, il rammassa en passant un fusil et commença à tirer dans le tas puis entre deux raffales :

"Ok si tu sais piloter se truc, pose nous dans un endroit plus tranquille, j'ai besion de souffler un peu!"

Hayate continua de tirer, malheureusement ne sachant pas vraiment viser il ne fit pas mouche souvent.

" Ouais enfin savoir ... Tout est relatif "

A vrai dire, je n'avais aucune idée de la manière dont il fallait piloter cet engin. Regardant le tableau de bord, je compris vite que nous pouvions sortir de cette ville coté essence. Coté pratique, j'ésperais être capable de piloter tout ça. Je me suis rendu compte que l'armée politique m'avait enseignée énormément de choses, pendant mon inconscience surement.

J'appuyais sur un gros bouton, et saisit la manette centrale. L'hélicoptère décolla légerement.

" Hey gars, regarde faire le pro! Enfin, continu de tirer pour l'instant! héhé. "

Je ne savais absolument pas ce que je faisais, mais bizarement, l'hélicoptère réagissait exactement comme je le voulais. La chance? Ou toujours ce passé inconnu qui reste enfoui en moi?

Quoi qu'il en soit, je devais nous éloigner d'ici. je fis décoller l'appareil. Et chercha une destination, assez éloignée pour que la menace part-mort ne plane plus sur nous, mais pas trop loin pour pouvoir intervenir avec l'armée. Après tout, c'est aussi notre rôle de défendre Paris.

Après une dizaine de minutes, nous étions en dehors de Paris. De loin, la ville était morte, les lumirères étaient toutes éteintes, aucun bruit ne s'échappait de là-bas à part quelques cris.

Le sourire qui arpentait mon visage tout à l'heure n'est plus, je repensais a toutes ces personnes qui souffriront cette nuit, à cette qui sont mortes, que je n'ai pas pus protéger face à cette insecte.

Enfin, je nous posais, dans un atterrissage plutôt difficile je puis dire, l'hélicoptère était devenu hors-d'usage. Nous étions dans une petite cité non loin de Paris, aucuns zombies, aucuns militaire. Juste nous, des habitants endormis. Un havre de paix. Du moins ésperons le.

" Tu va pouvoir souffler ici "

Cette nuit ne dura que quelques heures, pourtant j'avais l'impression d'y avoir passé des semaines. Bien que Oslo soit mort, ses expériences morbides continueront de nous détruire, fait chier...

" Je peux te raconter ce qui s'est passé depuis deux ans, pour ce qui est plus vieux, je t'avoue que même pour moi celà reste une énigme. Je me suis réveillé dans une sorte de bocal, incapable de bouger. On m'a donné le nom de Ryusaki, ca ne doit pas être mon véritable nom, mais je m'y suis adapté. J'ai travaillé pour l'armée à cause de quelque chose en moi, je ne sais pas trop ce dont il s'agissait, mais celà me forcait a adherer au partie.

En réalité j'ai été sujet à des experiences étranges. Mon agilité est supérieure à celle de beaucoup de monde, mis à part les insectes. Les blessures que je subit guérissent très rapidement. Tu vois cette blessure que j'ai eu dans le batiment tout à l'heure, la plaie est refermée, dans quatre ou cinq jour tout au plus, ça sera totalement cicatrisé.

C'est peut-être ce pouvoir qui à détruit ce qui génait mon libre arbitre. Depuis la bataille de Montparnasse ou ma visite fut éclair, en fait, je suis tombé du batiment après une attaque d'un prêtre. Bref, après ce combat ... J'ai deserté l'armée et suis devenu mercenaire. Après un an, je venais feter l'une de mes victoire dans le Winchester à Paris, et tu connais la suite de l'histoire.

Et toi? raconte moi ce qui te pousse à faire tout ça, tu m'a parlé de Avalanche, qu'est ce que c'est? à quoi ca sert? "

C'était la première fois que je me confessais comme celà à quelqu'un. C'était une sensation nouvelle, comme si je lui faisait confiance. Qui sait s'il était un homme de confiance? Il m'a sauvé la vie, je l'ai conduit hors de Paris, je pensais fortement que les choses n'arrivaient pas par hasard. Nous allions bien voir si j'avais tort ou pas ...

Un clan pour le bien de tous...c'était une bonne idée. Je pouvais l'aider à reformer ce clan. De toutee façon, Oslo était mort, je ne savais que faire du tas qui me servais de corps.

" J'accepte ta proposition, mais il nous faudrait un lieu, comme un QG, le clan serait plus efficace si des missions plus ou moins importantes étaient contrôlé par un chef ou quelque chose dans ce genre, non ? Enfin c'est toi qui voit, je ne vais pas commencer à faire ma loi ... Quant-à Hayabusa, A part son nom, je ne connais rien de lui, je ne l'ai jamais rencontré désolé ... "

A vrai dire, j'étais impatient que Avalanche soit recrée. Peut-être aurais-je mieux à faire que de remplir des contrats pour des personnes pas toujours honnêtes.

" Mais il y à une chose qui me chiffone pour cette nuit. Cette troupe de soldat, qui n'appartenait visiblement pas à l'armée de la société officielle, elle doit encore être à notre recherche. Et le crash de l'hélicoptère à du attirer l'attention. On ne devrait pas rester ici trop longtemps, à moins que ces types soient débiles. Séparons nous et retrouvons nous dans une autre ville, un de ces jour, qu'en dis-tu ? "

" tient regarde "

Un nouvel hélicoptère arriva, semblable à celui qui nous a pourchassé à Paris.

" On se retrouvera, Ciao "

Je me mit à courir, pourchassé par l'hélicoptère. Peut être le signe du doigt que je lui avais fait y été pour quelque chose. La poursuite continua pendant quelques minutes, Je montais dans un batiment assez haut, sortis mon fusil à canon scié et tira deux cartouches dans la vitre avant, le conducteur étant mort, l'hélicoptère se crasha.

On se retrouvera, crois moi...